« Nous en avons parlé avant et après les élections ; je ne crois pas que ce sont toutes ces discussions qui vont tirer en longueur sur des questions déjà examinées avec le pouvoir et où nous avons donné notre position de principe qui vont régler les choses. Je crois qu’appeler à d’autres discussions, c’est retarder les choses », a-t-il soutenu.
Selon lui, l’opposition veut un ministre qui n’appartienne pas à l’APR pour diriger le ministère de l’Intérieur et s’occuper de toutes les questions électorales.
« Nous avons donné notre position de principe : nous voulons un ministre de l’Intérieur neutre, pour organiser des élections. Nous avons demandé au président de la République de choisir une personnalité neutre pour diriger les élections et s’occuper de toutes les questions liées à ces élections. Je ne vois l'utilité d'aller discuter une énième fois avec le ministre de l'Intérieur pour aboutir à des résultats qui ne seront jamais appliqués", a-t-il noté mardi sur Rfm. Il estime que le pouvoir sait ce qu'il a à faire. "Car, l’opposition en a marre", s’est voulu clair le responsable libéral.
Selon lui, l’opposition veut un ministre qui n’appartienne pas à l’APR pour diriger le ministère de l’Intérieur et s’occuper de toutes les questions électorales.
« Nous avons donné notre position de principe : nous voulons un ministre de l’Intérieur neutre, pour organiser des élections. Nous avons demandé au président de la République de choisir une personnalité neutre pour diriger les élections et s’occuper de toutes les questions liées à ces élections. Je ne vois l'utilité d'aller discuter une énième fois avec le ministre de l'Intérieur pour aboutir à des résultats qui ne seront jamais appliqués", a-t-il noté mardi sur Rfm. Il estime que le pouvoir sait ce qu'il a à faire. "Car, l’opposition en a marre", s’est voulu clair le responsable libéral.