Selon Codou Sidibé, sage-femme d'État audit centre de santé Baye Talla Diop, leurs doléances portent sur le manque de respect du Code de Travail, en son article L5, L49, L80, L86, L105, L116, L130 et L218.
Le personnel de santé réclame aussi une gestion démocratique du personnel, un processus de gestion transparente des recettes par le CDS du centre de santé. Ce n'est pas tout. Toujours au chapitre des revendications,, figurent également la question du sous minima du bloc opératoire et la gestion du parking automobile.
A en croire Codou Sidibé et ses camarades, le traitement salarial est inéquitable et les agents de santé communautaires, sont des laissés-pour-compte. Ce qu'ils dénoncent avec vigueur.
"Ces agents ne bénéficient d'aucune protection sociale et médicale, comme stipulé dans le code du travail " a-t-elle martelé, avec fracas. Lors de leur rassemblement, ils ont aussi exigé l'acquisition de matériel de soins adéquat. Selon Codou Sidibé, l'évacuation des malades pose problème à cause parfois de manque de carburant.
« Fort de tout cela, nous personnel du centre de santé BTD, avons décrété des sit-in de 72 h par semaine, depuis le 17 mars 2025, pour exiger la satisfaction de nos revendications », a soutenu Mme Sidibé.
Le personnel de santé réclame aussi une gestion démocratique du personnel, un processus de gestion transparente des recettes par le CDS du centre de santé. Ce n'est pas tout. Toujours au chapitre des revendications,, figurent également la question du sous minima du bloc opératoire et la gestion du parking automobile.
A en croire Codou Sidibé et ses camarades, le traitement salarial est inéquitable et les agents de santé communautaires, sont des laissés-pour-compte. Ce qu'ils dénoncent avec vigueur.
"Ces agents ne bénéficient d'aucune protection sociale et médicale, comme stipulé dans le code du travail " a-t-elle martelé, avec fracas. Lors de leur rassemblement, ils ont aussi exigé l'acquisition de matériel de soins adéquat. Selon Codou Sidibé, l'évacuation des malades pose problème à cause parfois de manque de carburant.
« Fort de tout cela, nous personnel du centre de santé BTD, avons décrété des sit-in de 72 h par semaine, depuis le 17 mars 2025, pour exiger la satisfaction de nos revendications », a soutenu Mme Sidibé.