Depuis plusieurs semaines, le Tribunal de grande instance de Mbour tourne au ralenti, à cause d’un arrêt de travail des greffiers. Cette grève, rapportée par "Le Quotidien", engendre une désorganisation majeure de la chaîne judiciaire. Si certaines audiences se tiennent grâce à des greffiers ad-hoc, les chambres criminelles et les audiences civiles restent paralysées.
Les conséquences sont graves : reports d’audiences, retards dans les divorces, blocage des affaires économiques. Des citoyens, comme Fatou, attendant le jugement de leur divorce depuis plus d’un mois, ou Mor, un commerçant dont les créances ne peuvent être recouvrées, expriment leur désespoir.
La grève perturbe aussi l’activité administrative : impossibilité de délivrer des certificats de nationalité, blocage des dossiers notariés. Un notaire anonyme dénonce une paralysie complète : “C’est toute une chaîne qui est affectée".
Face à cette situation, des voix s’élèvent pour appeler à une solution rapide entre le gouvernement et les grévistes, afin de préserver le droit d’accès à la justice pour tous.
Les conséquences sont graves : reports d’audiences, retards dans les divorces, blocage des affaires économiques. Des citoyens, comme Fatou, attendant le jugement de leur divorce depuis plus d’un mois, ou Mor, un commerçant dont les créances ne peuvent être recouvrées, expriment leur désespoir.
La grève perturbe aussi l’activité administrative : impossibilité de délivrer des certificats de nationalité, blocage des dossiers notariés. Un notaire anonyme dénonce une paralysie complète : “C’est toute une chaîne qui est affectée".
Face à cette situation, des voix s’élèvent pour appeler à une solution rapide entre le gouvernement et les grévistes, afin de préserver le droit d’accès à la justice pour tous.
