Par conséquent, ce camarade de Mamadou Mbodj invite les corps de contrôle de l’Etat à prendre leurs responsabilités. «La justice ne doit épargner aucun membre de cette Gauche alimentaire. La Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) doit se saisir de cette affaire. Au niveau de l’Ofnac, on n’a pas beaucoup d’espoir mais nous estimons que cette institution doit déclencher une enquête», dit-t-il.
Par ailleurs, Birahim Seck regrette l’effondrement de la Gauche politique qui « n’est plus légitime », pour revendiquer les principes de la bonne gouvernance et de transformation sociale. «Nous avons eu honte que cette déclarations vienne d’une partie de la Gauche qui mettait en avant des principes dans le cadre des Assises nationales. On voit que cette gauche n’est plus légitime pour revendiquer les normes de transparences et de bonne gouvernance déclinées dans le projet des Assises nationales. Cette gauche ne croit pas à la transformation sociale, à la refondation de l’Etat… On a aujourd’hui affaire à une gauche alimentaire », fustige M. Seck.
Par ailleurs, Birahim Seck regrette l’effondrement de la Gauche politique qui « n’est plus légitime », pour revendiquer les principes de la bonne gouvernance et de transformation sociale. «Nous avons eu honte que cette déclarations vienne d’une partie de la Gauche qui mettait en avant des principes dans le cadre des Assises nationales. On voit que cette gauche n’est plus légitime pour revendiquer les normes de transparences et de bonne gouvernance déclinées dans le projet des Assises nationales. Cette gauche ne croit pas à la transformation sociale, à la refondation de l’Etat… On a aujourd’hui affaire à une gauche alimentaire », fustige M. Seck.