
Après avoir perdu le marché des visas, l'homme d'affaires ivoirien serait parmi les postulants à la construction de la prochaine université du Sine Saloum. Bien avant la suppression des visas que sa société SNEDAI gérait, il avait monté une entreprise de travaux publics pour ce grand chantier d'un coût de 50 milliards.