L’état de santé du député-maire des Agnam, Mouhamadou Ngom, plus connu sous le nom de Farba Ngom, suscite une vive inquiétude. Selon ses avocats, ses proches et les spécialistes consultés, la situation se dégrade de façon alarmante.
Un rapport médical commandité par le juge d’instruction, met en lumière la gravité du cas.
Dr. Alassane Mbaye, Professeur titulaire de cardiologie à l’hôpital général Idrissa Pouye de Grand-Yoff, y affirme clairement que « l’état de santé du député Mouhamadou Ngom dit Farba, n’est pas compatible avec la vie en milieu carcéral ». Face à cette évaluation sans équivoque, les conseils du parlementaire montent au créneau. Ils jugent qu’une libération pour raison de santé, prévue par la législation en vigueur, n’entraverait en rien la poursuite de l’instruction en cours. « Sa libération pour raison de santé en application de la loi, ne saurait nuire aux besoins de l’instruction », soutiennent-ils.
Dans cette optique, les avocats de Farba Ngom ont officiellement déposé, en début de semaine, une demande de mise en liberté provisoire. Celle-ci a été adressée au président du collège des juges d’instruction du pôle financier judiciaire. Les conseils insistent : « Il est possible d’administrer la justice sans mettre en péril ce qui est plus cher que la justice elle-même : l’humanité ».
Un rapport médical commandité par le juge d’instruction, met en lumière la gravité du cas.
Dr. Alassane Mbaye, Professeur titulaire de cardiologie à l’hôpital général Idrissa Pouye de Grand-Yoff, y affirme clairement que « l’état de santé du député Mouhamadou Ngom dit Farba, n’est pas compatible avec la vie en milieu carcéral ». Face à cette évaluation sans équivoque, les conseils du parlementaire montent au créneau. Ils jugent qu’une libération pour raison de santé, prévue par la législation en vigueur, n’entraverait en rien la poursuite de l’instruction en cours. « Sa libération pour raison de santé en application de la loi, ne saurait nuire aux besoins de l’instruction », soutiennent-ils.
Dans cette optique, les avocats de Farba Ngom ont officiellement déposé, en début de semaine, une demande de mise en liberté provisoire. Celle-ci a été adressée au président du collège des juges d’instruction du pôle financier judiciaire. Les conseils insistent : « Il est possible d’administrer la justice sans mettre en péril ce qui est plus cher que la justice elle-même : l’humanité ».