Que nenni ! "Source A" donne trois raisons qui vont à l'encontre des propos de Me Malick Sall.
D’abord, contrairement à ce que dit le ministre de la Justice, la Loi organique N°2017-10 du 17 janvier 2017 portant Statut des magistrats, montre qu’il est bien mouillé dans cette procédure enclenchée contre le juge Téliko.
Aussi, d’après l’article 23, pour qu’il y ait une quelconque audition d’un magistrat, il faut, d’abord, que les inspecteurs de l’Administration de la justice soient saisis par le Garde des Sceaux.
Ce n’est pas tout. Car, après réception du rapport de l’IGAJ, c’est Malick Sall qui a le privilège de dire s’il va saisir ou non le Conseil de discipline. Cela relève de son pouvoir discrétionnaire.
D’abord, contrairement à ce que dit le ministre de la Justice, la Loi organique N°2017-10 du 17 janvier 2017 portant Statut des magistrats, montre qu’il est bien mouillé dans cette procédure enclenchée contre le juge Téliko.
Aussi, d’après l’article 23, pour qu’il y ait une quelconque audition d’un magistrat, il faut, d’abord, que les inspecteurs de l’Administration de la justice soient saisis par le Garde des Sceaux.
Ce n’est pas tout. Car, après réception du rapport de l’IGAJ, c’est Malick Sall qui a le privilège de dire s’il va saisir ou non le Conseil de discipline. Cela relève de son pouvoir discrétionnaire.