Selon "Seneweb.com", D. Faye, directeur du centre de football de Bandia, poursuivi pour attentat à la pudeur, actes contre nature et escroquerie, a été finalement relaxé. Il était accusé par un pensionnaire de 18 ans, d’avoir entretenu des rapports sexuels avec lui.
Le père du plaignant, S. Camara, avait inscrit son fils à un stage au centre et versé 400 000 FCfa pour un projet de voyage censé favoriser une détection. Faute de départ, le jeune avait quitté le centre, accusant ensuite son encadreur d’abus sexuels.
La défense, conduite par Me Aboubacry Deh, a rejeté les accusations, les qualifiant de « machination » destinée à récupérer l’argent versé.
En l’absence de certificat médical et compte tenu du silence du père au moment des faits, le tribunal a estimé les preuves insuffisantes.
D. Faye, innocenté, a déclaré à ses accusateurs : « Bayi nalen ak Yalla ».
"Seneweb.com" rappelle que le parquet avait requis l’application de la loi, avant que le tribunal ne prononce la relaxe.
Le père du plaignant, S. Camara, avait inscrit son fils à un stage au centre et versé 400 000 FCfa pour un projet de voyage censé favoriser une détection. Faute de départ, le jeune avait quitté le centre, accusant ensuite son encadreur d’abus sexuels.
La défense, conduite par Me Aboubacry Deh, a rejeté les accusations, les qualifiant de « machination » destinée à récupérer l’argent versé.
En l’absence de certificat médical et compte tenu du silence du père au moment des faits, le tribunal a estimé les preuves insuffisantes.
D. Faye, innocenté, a déclaré à ses accusateurs : « Bayi nalen ak Yalla ».
"Seneweb.com" rappelle que le parquet avait requis l’application de la loi, avant que le tribunal ne prononce la relaxe.
