Les employés des usines Cimaf et Cbmi, implantées dans la zone industrielle d’Allou Kagne, sont encore sous le choc après cette attaque spectaculaire. D’après les informations recueillies par L’Observateur, les faits se sont produits vers 3 heures du matin, lorsqu’un groupe d’une vingtaine d’hommes encagoulés et lourdement armés a pris d’assaut les deux sites.
L’opération, minutieusement planifiée, aurait débuté par la cimenterie Cimaf. Les assaillants, munis de machettes, de couteaux, de fusils de chasse et de pistolets, ont d’abord encerclé l’usine avant d’y pénétrer par la porte principale. Ils ont immédiatement maîtrisé les vigiles, qu’ils ont ligotés. Le chef de poste, blessé lors de l’assaut, aurait été contraint de guider les cambrioleurs à travers les bureaux de l’administration.
Pendant près d’une heure, racontent des témoins cités par L’Observateur, les malfaiteurs ont méthodiquement fouillé toutes les pièces de l’usine, sans toutefois trouver d’argent. Ne se décourageant pas, le groupe s’est ensuite dirigé vers l’usine voisine Cbmi, spécialisée dans la construction, où résident des ressortissants chinois chargés de la mise en place de la cimenterie.
Reprenant le même mode opératoire, les bandits ont neutralisé les gardiens avant de pénétrer dans les logements. C’est dans le bureau du chef qu’ils ont finalement découvert un coffre-fort contenant 50 millions de F CFA. Après s’en être emparés, ils ont pris la fuite, disparaissant dans la nature et laissant derrière eux un personnel traumatisé et des vigiles toujours ligotés.
Ce n’est qu’après leur départ que les responsables des deux sites ont alerté la gendarmerie. La Brigade de Pout s’est aussitôt rendue sur les lieux pour procéder aux constatations d’usage. Une enquête a été ouverte afin d’identifier et d’interpeller les auteurs de ce braquage audacieux.
D’après L’Observateur, cet incident a ravivé un profond sentiment d’insécurité chez les populations locales, qui se plaignent de subir de plus en plus d’attaques armées, souvent commises par des malfaiteurs demeurant introuvables.
Senenews
L’opération, minutieusement planifiée, aurait débuté par la cimenterie Cimaf. Les assaillants, munis de machettes, de couteaux, de fusils de chasse et de pistolets, ont d’abord encerclé l’usine avant d’y pénétrer par la porte principale. Ils ont immédiatement maîtrisé les vigiles, qu’ils ont ligotés. Le chef de poste, blessé lors de l’assaut, aurait été contraint de guider les cambrioleurs à travers les bureaux de l’administration.
Pendant près d’une heure, racontent des témoins cités par L’Observateur, les malfaiteurs ont méthodiquement fouillé toutes les pièces de l’usine, sans toutefois trouver d’argent. Ne se décourageant pas, le groupe s’est ensuite dirigé vers l’usine voisine Cbmi, spécialisée dans la construction, où résident des ressortissants chinois chargés de la mise en place de la cimenterie.
Reprenant le même mode opératoire, les bandits ont neutralisé les gardiens avant de pénétrer dans les logements. C’est dans le bureau du chef qu’ils ont finalement découvert un coffre-fort contenant 50 millions de F CFA. Après s’en être emparés, ils ont pris la fuite, disparaissant dans la nature et laissant derrière eux un personnel traumatisé et des vigiles toujours ligotés.
Ce n’est qu’après leur départ que les responsables des deux sites ont alerté la gendarmerie. La Brigade de Pout s’est aussitôt rendue sur les lieux pour procéder aux constatations d’usage. Une enquête a été ouverte afin d’identifier et d’interpeller les auteurs de ce braquage audacieux.
D’après L’Observateur, cet incident a ravivé un profond sentiment d’insécurité chez les populations locales, qui se plaignent de subir de plus en plus d’attaques armées, souvent commises par des malfaiteurs demeurant introuvables.
Senenews