Lors de la cérémonie d’ouverture de l’exposition Agriculture pour la nutrition, organisée hier, par le projet Feed the future à la bibliothèque de l’Ucad, le recteur de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar Ahmadou Aly Mbaye, propose d’envisager des spéculations de substitution.
Ainsi, il estime qu’il ne sera pas facile pour le Sénégal de produire du blé. Parce que les conditions climatiques ne s’y prêtent pas. « Par contre, ce qui est possible, c’est d’envisager des spéculations de substitution », a affirmé le Recteur.
Et, l’économiste préconise comme alternative, le recours aux céréales locales, notamment le maïs, le mil et le sorgho. « Le Sénégal produit énormément de céréales qui pourraient valablement se substituer au blé. Il va falloir qu’il y ait l’accompagnement technologique et une éducation des populations pour cette substitution », retient-il.
Le Recteur de l’UCAD pense que pour lutter contre l’insécurité alimentaire, il faut utiliser des moyens physiques comme la terre, les fertilisants, entre autres.
Ainsi, il estime qu’il ne sera pas facile pour le Sénégal de produire du blé. Parce que les conditions climatiques ne s’y prêtent pas. « Par contre, ce qui est possible, c’est d’envisager des spéculations de substitution », a affirmé le Recteur.
Et, l’économiste préconise comme alternative, le recours aux céréales locales, notamment le maïs, le mil et le sorgho. « Le Sénégal produit énormément de céréales qui pourraient valablement se substituer au blé. Il va falloir qu’il y ait l’accompagnement technologique et une éducation des populations pour cette substitution », retient-il.
Le Recteur de l’UCAD pense que pour lutter contre l’insécurité alimentaire, il faut utiliser des moyens physiques comme la terre, les fertilisants, entre autres.