«La finalité de toutes ces accusations fallacieuses et mensongères a un seul but : essayer de salir notre image pour renaître politiquement. Hélas ! C'est peine perdue ! La population est bien éveillée et la nouvelle arène politique regorge de plus en plus de dignes fils du pays, prêts à tout donner pour le changement que mérite notre pays, notre continent. Personnellement, j’ai choisi de rallier cette équipe».
«En réalité, ces agissements ne sont rien d’autre que des ripostes pour tenter d’anéantir l’impact positif manifesté par la population vis-à -vis des actes et initiatives que nous sommes en train de mener au sein de la commune, notamment l’état-civil «Joni Joni», l’éclairage public «Féép Léér», l’assainissement des recettes, pour ne citer que ceux-là », a fait savoir Cheikh Diop.
Ce dernier rappelle à qui veut l’entendre, que «personne ne peut nous divertir et nous dévier de notre chemin, du travail dans l’éthique et la dignité pour un Sénégal meilleur. Je vous donne rendez-vous prochainement pour le bilan annuel, avec un aperçu plus élargi et plus approfondi sur la gestion municipale qui nous a été confiée».
Cheikh Diop de se défendre des accusations en éclairant «la lanterne des administrés, le maire de Pikine Ouest, sur l’affaire d’escroquerie sur les salaires des agents de nettoyage recrutés par lui-même avec des salaires allant de 100 à 120.000 FCfa», et de faire savoir que «les seuls agents de nettoyage recrutés depuis notre arrivée, sont ceux du Fonds d’entretien routier autonome (Fera)».
Pour lui, le maire de la commune n’a aucune possibilité de réduire ou d’augmenter ces salaires. Revenant sur le «vol de 150 lampadaires», dont la garde de ce matériel était confiée à sa mairie, pour un projet d’éclairage public, Cheikh Diop a pris la population à témoin : «Désormais, la lumière jaillit dans tous les 23 quartiers avec un bon suivi de maintenance et d’intervention. Avec un inventaire initial, nous sommes partis avec 50 lampes au total, dont 26 lampes Led, 12 lanternes, 3 Led rechargeables et 9 solaires. Les 13 lampes Led sont montés dans les différents quartiers - nous détenons le détaillé des lampes pour chaque quartier. Avec le récent inventaire, nous avons dans notre magasin de stockage, 38 lampes au total, dont 13 lampes Led, 12 lanternes, 3 Led rechargeables et 9 solaires». Il précise qu’«une demande d’aide, estimée à 5 millions FCfa pour un groupe de 20 jeunes de sa localité», a été validée.
Après cette validation, «chaque jeune devait recevoir un montant de 250.000 FCfa». L’accusation sur ces fonds qui auraient transité des caisses, mais dont les véritables destinataires n’auraient reçu que 10.000 FCfa chacun, est aussi battue en brèche. À l’endroit de ses détracteurs, il leur lance une pique : «espérant que le plan a marché, le maire récupèrerait, accusent-t-ils, le reste de la somme pour ses propres affaires…». Comble de l’ironie, a-t-il laissé sous-entendre.
Tribune
«En réalité, ces agissements ne sont rien d’autre que des ripostes pour tenter d’anéantir l’impact positif manifesté par la population vis-à -vis des actes et initiatives que nous sommes en train de mener au sein de la commune, notamment l’état-civil «Joni Joni», l’éclairage public «Féép Léér», l’assainissement des recettes, pour ne citer que ceux-là », a fait savoir Cheikh Diop.
Ce dernier rappelle à qui veut l’entendre, que «personne ne peut nous divertir et nous dévier de notre chemin, du travail dans l’éthique et la dignité pour un Sénégal meilleur. Je vous donne rendez-vous prochainement pour le bilan annuel, avec un aperçu plus élargi et plus approfondi sur la gestion municipale qui nous a été confiée».
Cheikh Diop de se défendre des accusations en éclairant «la lanterne des administrés, le maire de Pikine Ouest, sur l’affaire d’escroquerie sur les salaires des agents de nettoyage recrutés par lui-même avec des salaires allant de 100 à 120.000 FCfa», et de faire savoir que «les seuls agents de nettoyage recrutés depuis notre arrivée, sont ceux du Fonds d’entretien routier autonome (Fera)».
Pour lui, le maire de la commune n’a aucune possibilité de réduire ou d’augmenter ces salaires. Revenant sur le «vol de 150 lampadaires», dont la garde de ce matériel était confiée à sa mairie, pour un projet d’éclairage public, Cheikh Diop a pris la population à témoin : «Désormais, la lumière jaillit dans tous les 23 quartiers avec un bon suivi de maintenance et d’intervention. Avec un inventaire initial, nous sommes partis avec 50 lampes au total, dont 26 lampes Led, 12 lanternes, 3 Led rechargeables et 9 solaires. Les 13 lampes Led sont montés dans les différents quartiers - nous détenons le détaillé des lampes pour chaque quartier. Avec le récent inventaire, nous avons dans notre magasin de stockage, 38 lampes au total, dont 13 lampes Led, 12 lanternes, 3 Led rechargeables et 9 solaires». Il précise qu’«une demande d’aide, estimée à 5 millions FCfa pour un groupe de 20 jeunes de sa localité», a été validée.
Après cette validation, «chaque jeune devait recevoir un montant de 250.000 FCfa». L’accusation sur ces fonds qui auraient transité des caisses, mais dont les véritables destinataires n’auraient reçu que 10.000 FCfa chacun, est aussi battue en brèche. À l’endroit de ses détracteurs, il leur lance une pique : «espérant que le plan a marché, le maire récupèrerait, accusent-t-ils, le reste de la somme pour ses propres affaires…». Comble de l’ironie, a-t-il laissé sous-entendre.
Tribune