Elle a fait la déclaration lors d’un séminaire organisé au profit des journalistes membres du réseau du dialogue social. Mme Ndiaye a soutenu que la presse a été déterminante durant les émeutes du mois de mars 2021, pour l’apaisement du climat.
Le thème de cette session de formation des journalistes sur le dialogue social est : «La gestion des crises et la prévention des conflits pour la consolidation d’une culture du dialogue et de la concertation».
Il s’agit de capacitation des hommes de médias en dialogue afin qu’ils soient des artisans de la paix. Allant dans le même sens, le représentant du BIT, Dramane Haïdara, par ailleurs directeur de l’Equipe d’appui technique au travail décent de l’OIT, estime que la profession de journalisme que certains qualifient légitimement de quatrième pouvoir, est une composante clé de la gouvernance des Etats modernes.
Pour lui, la vitalité d’une démocratie se mesure, entre autres, par la vitalité de sa presse. Il en est ainsi parce que les médias alimentent par leurs contributions, toutes les dynamiques politiques, économiques et sociales, dit-il.
Cependant, relève M. Haïdara, la presse a la capacité d’alimenter les conflits tant dans le sens de l’apaisement que dans le sens de l’aggravation.
L’As
Le thème de cette session de formation des journalistes sur le dialogue social est : «La gestion des crises et la prévention des conflits pour la consolidation d’une culture du dialogue et de la concertation».
Il s’agit de capacitation des hommes de médias en dialogue afin qu’ils soient des artisans de la paix. Allant dans le même sens, le représentant du BIT, Dramane Haïdara, par ailleurs directeur de l’Equipe d’appui technique au travail décent de l’OIT, estime que la profession de journalisme que certains qualifient légitimement de quatrième pouvoir, est une composante clé de la gouvernance des Etats modernes.
Pour lui, la vitalité d’une démocratie se mesure, entre autres, par la vitalité de sa presse. Il en est ainsi parce que les médias alimentent par leurs contributions, toutes les dynamiques politiques, économiques et sociales, dit-il.
Cependant, relève M. Haïdara, la presse a la capacité d’alimenter les conflits tant dans le sens de l’apaisement que dans le sens de l’aggravation.
L’As