« La crainte qu’il y ait des représailles n’est pas encore écartée. Avec les policiers qui sont là et qui nous surveillent, c’est stressant », a laissé entendre Issakha Diao.
Tout est parti de l’audience, sur fond d’un litige foncier qui a lieu, le 1er juin 2021 au Tribunal de Grande Jnstance de Diourbel. Me Abdoulaye Babou, qui défendait la partie civile, accuse le substitut du procureur d’avoir tenu des propos outrageants envers le fondateur du mouridisme, Serigne Touba.
Mais, selon le porte-parole de la famille Diao, la robe noire n’a pas dit ce qui s’est réellement passé. D’ailleurs, il lui suggère de retirer ses propos pour qu’il y ait un apaisement.
« Je n’aimerais pas que les choses empirent. Me Babou pourrait revenir sur ses propos », a déclaré Issakha Diao, qui note que, jusque-là , sa famille s’est gardée de porter plainte. Ce qui n’est pas le cas pour l’Union des magistrats du Sénégal (Ums), qui a décidé de saisir la justice.
Tout est parti de l’audience, sur fond d’un litige foncier qui a lieu, le 1er juin 2021 au Tribunal de Grande Jnstance de Diourbel. Me Abdoulaye Babou, qui défendait la partie civile, accuse le substitut du procureur d’avoir tenu des propos outrageants envers le fondateur du mouridisme, Serigne Touba.
Mais, selon le porte-parole de la famille Diao, la robe noire n’a pas dit ce qui s’est réellement passé. D’ailleurs, il lui suggère de retirer ses propos pour qu’il y ait un apaisement.
« Je n’aimerais pas que les choses empirent. Me Babou pourrait revenir sur ses propos », a déclaré Issakha Diao, qui note que, jusque-là , sa famille s’est gardée de porter plainte. Ce qui n’est pas le cas pour l’Union des magistrats du Sénégal (Ums), qui a décidé de saisir la justice.