Un drame familial a bouleversé le quartier Néma 2 à Ziguinchor. Une jeune élève, A. Kébé, âgée de 20 ans, a été interpellée pour avoir mortellement poignardé son petit frère, T. Kébé, maçon de 17 ans. Les faits se sont déroulés vendredi dernier, mais n’ont été portés à la connaissance de la police qu'après une dénonciation anonyme.
Selon les informations rapportées par Seneweb, l’incident a éclaté suite à une dispute familiale. A. Kébé aurait reproché à son frère d’avoir gaspillé de l’eau après être sorti des toilettes. La tension serait rapidement montée, jusqu’à ce que la jeune fille porte un coup de couteau fatal à l’abdomen de son frère. La victime a succombé à ses blessures après son évacuation à l’hôpital régional de Ziguinchor.
Fait troublant : la famille endeuillée aurait tenté de dissimuler le drame avec la complicité de certaines figures notables du quartier, d’après des témoignages recueillis sur place. Ce n’est qu’hier, samedi, vers midi, que le chef du poste de police de Yamatogne a été alerté par une source anonyme.
La réactivité des forces de l’ordre a permis l’interpellation rapide de la mise en cause à son domicile familial. A. Kébé a été placée en garde à vue pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, a précisé la même source.
Une enquête est en cours pour faire toute la lumière sur les circonstances de ce drame et sur les éventuelles tentatives d’obstruction à la justice.
Selon les informations rapportées par Seneweb, l’incident a éclaté suite à une dispute familiale. A. Kébé aurait reproché à son frère d’avoir gaspillé de l’eau après être sorti des toilettes. La tension serait rapidement montée, jusqu’à ce que la jeune fille porte un coup de couteau fatal à l’abdomen de son frère. La victime a succombé à ses blessures après son évacuation à l’hôpital régional de Ziguinchor.
Fait troublant : la famille endeuillée aurait tenté de dissimuler le drame avec la complicité de certaines figures notables du quartier, d’après des témoignages recueillis sur place. Ce n’est qu’hier, samedi, vers midi, que le chef du poste de police de Yamatogne a été alerté par une source anonyme.
La réactivité des forces de l’ordre a permis l’interpellation rapide de la mise en cause à son domicile familial. A. Kébé a été placée en garde à vue pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, a précisé la même source.
Une enquête est en cours pour faire toute la lumière sur les circonstances de ce drame et sur les éventuelles tentatives d’obstruction à la justice.
