La Journée internationale de la paix a été célébrée hier, à Ziguinchor. Une multitude de femmes s’était donnée rendez-vous dans la zone sud qui a trop souffert du conflit indépendantiste des branches armées. “Le 23 Mars 2020, le Secrétaire Général des Nations Unies lançait au monde entier, un appel pour un cessez le feu général et pour faire taire les armes.
Certes dans notre zone, depuis 2012, le processus de paix est marqué par une réduction des affrontements entre les forces armées du Sénégal et les différentes factions des combattants du MFDC avec comme résultat une accalmie perturbée quelques fois par des actes des actes forts regrettables”, a regretté la présidente de la plateforme des femmes en Casamance.
Ainsi, il a été noté une reprise relativement timide des initiatives de développement économiques et sociales et de désenclavement de la Casamance. Lesdites femmes de cette platefore appelle les deux parties en conflit à formaliser des accords de cessez- le-feu, suivi de négociations inclusives et transparentes pour le retour définitif de la paix.
Certes dans notre zone, depuis 2012, le processus de paix est marqué par une réduction des affrontements entre les forces armées du Sénégal et les différentes factions des combattants du MFDC avec comme résultat une accalmie perturbée quelques fois par des actes des actes forts regrettables”, a regretté la présidente de la plateforme des femmes en Casamance.
Ainsi, il a été noté une reprise relativement timide des initiatives de développement économiques et sociales et de désenclavement de la Casamance. Lesdites femmes de cette platefore appelle les deux parties en conflit à formaliser des accords de cessez- le-feu, suivi de négociations inclusives et transparentes pour le retour définitif de la paix.
