Selon les informations de "L’As", le drame s’est produit le 15 août 2023, à Sabaké, un village situé à une trentaine de kilomètres de Tambacounda. Ce jour-là , les gendarmes ont été alertés après la découverte macabre du corps d’Idy Sow, un berger de 69 ans, marié à trois femmes et père de onze enfants. À leur arrivée, les forces de l’ordre ont trouvé les sapeurs-pompiers déjà sur place, aux côtés du cadavre baignant dans une mare de sang, lacéré par pas moins de 18 coups de machette. Avant de rendre l’âme, la victime avait eu le temps de désigner son propre fils, Amadou Sow, comme l’auteur de l’agression.
Toujours d’après "L’As", le mobile du crime est lié à un différend familial autour d’un héritage. Le jeune berger reprochait à son père d’avoir confisqué le bétail que lui avait légué sa défunte mère.
Frustré par ce refus répété et humilié par une gifle de son père lors de leur dernière altercation, Amadou Sow avait fini par passer à l’acte. Arrêté peu après les faits, il avait reconnu les accusations devant les enquêteurs, avant de réitérer ses aveux face à la Cour, exprimant ses regrets et demandant pardon à sa famille et à la justice.
Malgré les réquisitions du ministère public qui réclamait la perpétuité, la Chambre criminelle a finalement retenu les circonstances atténuantes plaidées par ses avocats. Ces derniers ont insisté sur le fait qu’Amadou Sow était un délinquant primaire. Il écope ainsi de 20 années de réclusion criminelle.
Toujours d’après "L’As", le mobile du crime est lié à un différend familial autour d’un héritage. Le jeune berger reprochait à son père d’avoir confisqué le bétail que lui avait légué sa défunte mère.
Frustré par ce refus répété et humilié par une gifle de son père lors de leur dernière altercation, Amadou Sow avait fini par passer à l’acte. Arrêté peu après les faits, il avait reconnu les accusations devant les enquêteurs, avant de réitérer ses aveux face à la Cour, exprimant ses regrets et demandant pardon à sa famille et à la justice.
Malgré les réquisitions du ministère public qui réclamait la perpétuité, la Chambre criminelle a finalement retenu les circonstances atténuantes plaidées par ses avocats. Ces derniers ont insisté sur le fait qu’Amadou Sow était un délinquant primaire. Il écope ainsi de 20 années de réclusion criminelle.
