L’ancienne otage Sophie Petronin, âgée de 76 ans et libérée en octobre 2020, est de retour au Mali depuis le mois de mars 2021. Elle est passée discrètement par l’aéroport de Diass (Dakar), avant de rallier Bamako par la route. La vieille dame a convaincu son fils, en charge de son accueil en Suisse, de prétexter des vacances en Casamance (Sénégal), pour prendre un vol Genève-Dakar.
Des rumeurs circulaient depuis plusieurs jours sur une éventuelle nouvelle prise d’otage, ce qui ne serait pas le cas selon le journaliste Anthony Fouchard, qui lui avait consacré une biographie, et plusieurs autres médias. Ce dernier, qui a pu échanger avec Sophie Pétronin, a confirmé sa présence sur le sol malien. Car l’ex-otage ne pouvait plus supporter le fait d’être séparée d’avec sa fille adoptive (une Malienne), qui a une vingtaine d’années, qu’elle n’avait pas revue depuis les quatre ans de sa détention et sa libération.
Selon la rédaction de Radio France, Sophie Pétronin n’aurait pas également supporté son retour après plus de quatre ans en captivité et 25 ans après avoir quitté l’Hexagone. À plusieurs reprises, la travailleuse humanitaire aurait évoqué la possibilité de mettre fin à ses jours lors de réunions de famille. Sophie Pétronin aurait également eu du mal à s’adapter au climat suisse où elle vit avec une pension de retraite de 750 euros soit 500.000 FCfa environ. Comme quoi, elle n’aurait pas eu le sentiment de vivre aussi libre qu’elle l’aurait désiré.
Des rumeurs circulaient depuis plusieurs jours sur une éventuelle nouvelle prise d’otage, ce qui ne serait pas le cas selon le journaliste Anthony Fouchard, qui lui avait consacré une biographie, et plusieurs autres médias. Ce dernier, qui a pu échanger avec Sophie Pétronin, a confirmé sa présence sur le sol malien. Car l’ex-otage ne pouvait plus supporter le fait d’être séparée d’avec sa fille adoptive (une Malienne), qui a une vingtaine d’années, qu’elle n’avait pas revue depuis les quatre ans de sa détention et sa libération.
Selon la rédaction de Radio France, Sophie Pétronin n’aurait pas également supporté son retour après plus de quatre ans en captivité et 25 ans après avoir quitté l’Hexagone. À plusieurs reprises, la travailleuse humanitaire aurait évoqué la possibilité de mettre fin à ses jours lors de réunions de famille. Sophie Pétronin aurait également eu du mal à s’adapter au climat suisse où elle vit avec une pension de retraite de 750 euros soit 500.000 FCfa environ. Comme quoi, elle n’aurait pas eu le sentiment de vivre aussi libre qu’elle l’aurait désiré.
