D’après le journal "Libération", la police n’a agi ni de son propre chef ni sur instruction directe du ministre de l’Intérieur, Me Bamba Cissé. D’après "Libération", tout est parti d’une autorisation du Conseil académique, qui a habilité le recteur — seul détenteur des pouvoirs nécessaires en cas de troubles — à prendre les mesures jugées indispensables pour assurer la sécurité. C’est ainsi que le recteur a procédé à une réquisition formelle de la police, adressée au commissariat du Point-E, afin de protéger les personnes et les biens sur le campus.
Cette procédure, souvent méconnue du grand public, est pourtant encadrée par les textes : les forces de l’ordre ne peuvent intervenir dans l’espace universitaire, qu’à la demande expresse des autorités académiques.
"Libération" rappelle également qu’un cas similaire s’est produit à l’Université de Kaolack, où la police avait été sollicitée selon les mêmes modalités
Cette procédure, souvent méconnue du grand public, est pourtant encadrée par les textes : les forces de l’ordre ne peuvent intervenir dans l’espace universitaire, qu’à la demande expresse des autorités académiques.
"Libération" rappelle également qu’un cas similaire s’est produit à l’Université de Kaolack, où la police avait été sollicitée selon les mêmes modalités







