Les étudiants s’offusquent toutefois de « la campagne de diabolisation » dont ils estiment faire l’objet. Ils se disent nullement ébranlés à l’idée d’être traduits devant le Conseil de discipline de l’université ou devant les tribunaux.
Ils ont par ailleurs réitéré leur disponibilité à travailleur avec le recteur de l’université qu’ils disent considérer comme leur partenaire et le gouverneur de Saint-Louis.
Ils ont par ailleurs réitéré leur disponibilité à travailleur avec le recteur de l’université qu’ils disent considérer comme leur partenaire et le gouverneur de Saint-Louis.