Le climat social reste tendu entre le gouvernement et les centrales syndicales. Selon le quotidien EnQuête, le Premier ministre a pris une note officielle, le jeudi 25 septembre 2025, pour rappeler à ses ministres leurs obligations dans la mise en œuvre du Pacte national de stabilité sociale pour une croissance inclusive et durable, signé le 1er mai 2025.
Dans ce document, il leur demande d’« identifier avec précision et d’intégrer de façon prioritaire » dans leurs propositions budgétaires pour la Loi de finances initiale 2026 les activités découlant des accords conclus avec les syndicats. Le chef du gouvernement insiste sur la nécessité d’une budgétisation claire et d’un suivi rigoureux afin d’éviter de nouveaux blocages.
Cette réaction intervient après la conférence de presse organisée par le Front syndical pour la défense du travail, regroupant plusieurs centrales, qui a dénoncé les lenteurs de l’État dans l’application des accords.
Les syndicalistes menacent de passer à l’action, avec un plan comprenant une assemblée générale des délégués le 15 octobre, suivie de dépôts de préavis de grève, sit-in et marches.
D’après les syndicats, certains engagements devaient entrer en vigueur dès 2025, alors que le gouvernement ne prévoit leur budgétisation qu’à partir de 2026.
Dans ce document, il leur demande d’« identifier avec précision et d’intégrer de façon prioritaire » dans leurs propositions budgétaires pour la Loi de finances initiale 2026 les activités découlant des accords conclus avec les syndicats. Le chef du gouvernement insiste sur la nécessité d’une budgétisation claire et d’un suivi rigoureux afin d’éviter de nouveaux blocages.
Cette réaction intervient après la conférence de presse organisée par le Front syndical pour la défense du travail, regroupant plusieurs centrales, qui a dénoncé les lenteurs de l’État dans l’application des accords.
Les syndicalistes menacent de passer à l’action, avec un plan comprenant une assemblée générale des délégués le 15 octobre, suivie de dépôts de préavis de grève, sit-in et marches.
D’après les syndicats, certains engagements devaient entrer en vigueur dès 2025, alors que le gouvernement ne prévoit leur budgétisation qu’à partir de 2026.