À Soussoung, localité située dans la commune de Ndiaganiao, la contestation contre l’exploitation des carrières de basalte s’intensifie. Depuis plusieurs semaines, les tensions sont vives, mais elles ont atteint un niveau critique ces derniers jours, marqués par l’arrestation de plusieurs membres de la population locale par la gendarmerie, selon le Quotidien. Cette situation a fait réagir le Collectif pour la défense des terres de Soussoung, qui dénonce une « arrestation massive » de manifestants depuis plus de 48 heures.
Le porte-parole du collectif, Ndiome Idrissa Thiao, a exprimé une vive inquiétude et réitéré l’engagement de sa structure à défendre les droits et intérêts des populations. Il a appelé l’opinion nationale et internationale à « se mobiliser pour un règlement pacifique du conflit afin d’éviter l’irréparable ». Il exhorte aussi la population à rester solidaire et vigilante en cette période de tension.
La section communale de Pastef à Ndiaganiao a également réagi, soulignant que la contestation remonte à 2023, bien avant l’élection du président Bassirou Diomaye Diakhar Faye, originaire de la commune. Si elle reconnaît que les promoteurs ont obtenu les autorisations et délibérations requises, Pastef déplore toutefois le manque de « démarche participative » de la part du bureau municipal, qui n’a pas suffisamment associé les acteurs locaux.
Face à cette crise, le parti appelle les autorités administratives à organiser une concertation inclusive pour rechercher « une solution juste et profitable à tous ». Une position que relaie encore le Quotidien dans son édition consacrée à cette affaire.
Le porte-parole du collectif, Ndiome Idrissa Thiao, a exprimé une vive inquiétude et réitéré l’engagement de sa structure à défendre les droits et intérêts des populations. Il a appelé l’opinion nationale et internationale à « se mobiliser pour un règlement pacifique du conflit afin d’éviter l’irréparable ». Il exhorte aussi la population à rester solidaire et vigilante en cette période de tension.
La section communale de Pastef à Ndiaganiao a également réagi, soulignant que la contestation remonte à 2023, bien avant l’élection du président Bassirou Diomaye Diakhar Faye, originaire de la commune. Si elle reconnaît que les promoteurs ont obtenu les autorisations et délibérations requises, Pastef déplore toutefois le manque de « démarche participative » de la part du bureau municipal, qui n’a pas suffisamment associé les acteurs locaux.
Face à cette crise, le parti appelle les autorités administratives à organiser une concertation inclusive pour rechercher « une solution juste et profitable à tous ». Une position que relaie encore le Quotidien dans son édition consacrée à cette affaire.