
Selon la lettre confidentielle transmise à la justice, la Commission a conduit une enquête approfondie suite à des alertes sur la dégradation de la santé de Farba Ngom. Dans un premier temps, un expert médical indépendant, le professeur Alassane Mbaye, cardiologue, avait été désigné le 12 mai 2025 sur proposition de l’Ordre des médecins. Dans son rapport, il conclut sans équivoque que l’état clinique de M. Ngom ne permet pas sa détention en milieu carcéral.
Toutefois, ces conclusions ont été contestées par le ministère public, qui a exigé une contre expertise médicale. Un collège pluridisciplinaire composé du professeur Sérigne Maguèye Guèye (urologue), du professeur Papa Saliou Mbaye (hépato-gastro-entérologue) et du professeur Ousmane Dièye (cardiologue) a été mandaté par ordonnance en date du 21 juillet 2025. Leur mission était d’évaluer à nouveau la compatibilité de l’état de santé du détenu avec l’incarcération. Les résultats de cette contre expertise n’ont fait que confirmer l’alerte initiale.
Les spécialistes ont identifié plusieurs pathologies graves : un syndrome d’apnée obstructive du sommeil à un stade sévère, un haut risque cardiovasculaire, une cardiopathie débutante, un diabète ancien mal équilibré et une obésité préoccupante. Ce tableau clinique global représente un danger immédiat pour la vie du député, exposé à des complications potentiellement mortelles, notamment une mort subite durant son sommeil. Face à ce constat alarmant, la Commission des droits de l’Homme appelle à une réponse urgente et humanitaire.
Elle demande formellement la mise en liberté provisoire de Farba Ngom ou, à défaut, son placement en résidence surveillée afin qu’il puisse bénéficier d’un suivi médical intensif et adapté. L’objectif est clair : garantir le droit fondamental à la vie et au respect de la dignité humaine, au-delà de toute considération judiciaire.
D'après le Quotidien Le dakarois, la correspondance a été adressée au juge d’instruction Idrissa Diarra, avec copie au Garde des Sceaux, au procureur de la République et à l’avocat du député. En rappelant les principes fondamentaux des droits de l’Homme, la Commission appelle les autorités à faire preuve de responsabilité, dans un contexte où la protection de la vie doit primer sur toute autre considération.
Toutefois, ces conclusions ont été contestées par le ministère public, qui a exigé une contre expertise médicale. Un collège pluridisciplinaire composé du professeur Sérigne Maguèye Guèye (urologue), du professeur Papa Saliou Mbaye (hépato-gastro-entérologue) et du professeur Ousmane Dièye (cardiologue) a été mandaté par ordonnance en date du 21 juillet 2025. Leur mission était d’évaluer à nouveau la compatibilité de l’état de santé du détenu avec l’incarcération. Les résultats de cette contre expertise n’ont fait que confirmer l’alerte initiale.
Les spécialistes ont identifié plusieurs pathologies graves : un syndrome d’apnée obstructive du sommeil à un stade sévère, un haut risque cardiovasculaire, une cardiopathie débutante, un diabète ancien mal équilibré et une obésité préoccupante. Ce tableau clinique global représente un danger immédiat pour la vie du député, exposé à des complications potentiellement mortelles, notamment une mort subite durant son sommeil. Face à ce constat alarmant, la Commission des droits de l’Homme appelle à une réponse urgente et humanitaire.
Elle demande formellement la mise en liberté provisoire de Farba Ngom ou, à défaut, son placement en résidence surveillée afin qu’il puisse bénéficier d’un suivi médical intensif et adapté. L’objectif est clair : garantir le droit fondamental à la vie et au respect de la dignité humaine, au-delà de toute considération judiciaire.
D'après le Quotidien Le dakarois, la correspondance a été adressée au juge d’instruction Idrissa Diarra, avec copie au Garde des Sceaux, au procureur de la République et à l’avocat du député. En rappelant les principes fondamentaux des droits de l’Homme, la Commission appelle les autorités à faire preuve de responsabilité, dans un contexte où la protection de la vie doit primer sur toute autre considération.