Pcci ou premier centre de contact international est une entreprise évoluant dans le domaine du télémarketing. Implantée à Dakar plus précisément à Mermoz ce centre d’appel destiné à résoudre ou du moins à diminuer le taux de chômage des jeunes est aujourd’hui dans une situation plus qu’embarrassante. En effet, depuis quelques années les salaries de Pcci sont entre le marteau et l’enclume. Des cumules de retard de payement, les travailleurs se retrouvent aujourd’hui avec de 12 mois de salaires impayées. Victimes des discours et autres promesses non tenue certains de nos confrères se retrouvent aujourd’hui à vivre dans des conditions plus que lamentable. Alors se disant travailleurs, ils sont privés de leur droit le plus élémentaire à savoir celui de jouir pleinement de leur liberté de parole, de protestation ou de manifestation sous peine de renvoie.
TEMOIGNAGE :
Depuis que je suis étudiante, je gère tous tous les besoins financiers de ma mère car elle n’a pas les moyens et mon père est décédé. Dans l’optique de gagner ma vie dignement et m’occuper de ma mère je suis rentrée à Pcci. Dès lors, mon espoir mon espoir de vie meilleure tourne au cauchemar. La société du fait de sa négligence vis-à-vis des salaries du cites pcci Dakar souille non seulement nos dignité, nos intérêts et profite de ma situation de galère. Diplômé depuis 3 ans je ne m’imaginais vraiment pas être victime de telle exploitation dans mon propre pays.
Ce qui fait le plus mal dans tout cela c’est que Pcci continue de s’agrandir et à s’étendre avec les ressources issues du labeur de mes frères et sœurs de la filiale Pcci Sénégal.
Ayant démissionné de Pcci en Aout 2018 avec un retard de 6 mois de salaires impayées. Je me retrouve aujourd’hui incapable de réclamer mon dû ne sachant a qui m’adressé et comme si cela ne suffisait pas je me retrouve endetter et presque poursuivi par la banque du fait du non versement de mon salaire sans lequel les frais de tenus de compte demeurent impayées. Hors certains de mes collègues qui y sont toujours perçoivent quelques miettes mon cas reste alors loin des priorités de Pcci. A croire que démission est synonyme d’extorsion ou d’abandon de ses salaires impayées.
Je suis a Pcci debut Mai j’ai signe un contrat de 6 mois et durant ces 6 mois je n’es percu que 2 mois et on me doit a present 4 mois de salaires sans compter mes indemnites de formation et depuis la dire tion avait communiquer comme quoi l’entreprise avait des soucis et donc on o
TEMOIGNAGE :
Depuis que je suis étudiante, je gère tous tous les besoins financiers de ma mère car elle n’a pas les moyens et mon père est décédé. Dans l’optique de gagner ma vie dignement et m’occuper de ma mère je suis rentrée à Pcci. Dès lors, mon espoir mon espoir de vie meilleure tourne au cauchemar. La société du fait de sa négligence vis-à-vis des salaries du cites pcci Dakar souille non seulement nos dignité, nos intérêts et profite de ma situation de galère. Diplômé depuis 3 ans je ne m’imaginais vraiment pas être victime de telle exploitation dans mon propre pays.
Ce qui fait le plus mal dans tout cela c’est que Pcci continue de s’agrandir et à s’étendre avec les ressources issues du labeur de mes frères et sœurs de la filiale Pcci Sénégal.
Ayant démissionné de Pcci en Aout 2018 avec un retard de 6 mois de salaires impayées. Je me retrouve aujourd’hui incapable de réclamer mon dû ne sachant a qui m’adressé et comme si cela ne suffisait pas je me retrouve endetter et presque poursuivi par la banque du fait du non versement de mon salaire sans lequel les frais de tenus de compte demeurent impayées. Hors certains de mes collègues qui y sont toujours perçoivent quelques miettes mon cas reste alors loin des priorités de Pcci. A croire que démission est synonyme d’extorsion ou d’abandon de ses salaires impayées.
Je suis a Pcci debut Mai j’ai signe un contrat de 6 mois et durant ces 6 mois je n’es percu que 2 mois et on me doit a present 4 mois de salaires sans compter mes indemnites de formation et depuis la dire tion avait communiquer comme quoi l’entreprise avait des soucis et donc on o
