Ce n’est un secret pour personne : ses « rapports » orientés et souvent déconnectés des réalités du terrain, ont été à l’origine de nombreuses erreurs d’analyse, ayant induit en erreur des institutions internationales de bonne foi. Mais aujourd’hui, ces mêmes institutions commencent à se rendre compte que derrière la posture humaniste de M. Gassama, se cache un homme amer, mû par des intérêts personnels et des règlements de compte politiques.
L’ONU, l’UA, l’UE et les États-Unis sont des entités souveraines et complexes, qui écoutent tous les sons de cloche. Or, Gassama, avec sa rhétorique unidirectionnelle et sa fixation pathologique sur Macky Sall, n’est plus qu’un disque rayé, qui tente désespérément de faire oublier qu’il a échoué à s’imposer autrement que par la calomnie.
Quant à ses accusations de « dérive autoritaire », elles sont aussi vides que ses analyses sont biaisées. Le Sénégal, sous Macky Sall, a connu des avancées significatives en matière d’infrastructures, de gouvernance économique et de positionnement diplomatique. Les tensions sociales qu’il évoque, ne sont pas le fruit d’un autoritarisme, mais d’un contexte politique où certains se sont crus intouchables, au nom d’une impunité refusée par la République.
Seydi Gassama ferait mieux de se regarder dans un miroir, avant de parler de « leçons à retenir ». Le vrai abus, c’est de manipuler l’opinion internationale avec des rapports partisans, de semer le doute sur les institutions de son propre pays et de se présenter comme défenseur des droits humains, alors qu’on ne fait que recycler les griefs d’une opposition amère.
L’époque où ses déclarations étaient prises pour parole d’Évangile, est révolue. Le Sénégal mérite mieux qu’un donneur de leçons frustré, déguisé en militant des droits humains.
Baba Aïdara,
Journaliste d’investigation
Washington Dc (USA)
L’ONU, l’UA, l’UE et les États-Unis sont des entités souveraines et complexes, qui écoutent tous les sons de cloche. Or, Gassama, avec sa rhétorique unidirectionnelle et sa fixation pathologique sur Macky Sall, n’est plus qu’un disque rayé, qui tente désespérément de faire oublier qu’il a échoué à s’imposer autrement que par la calomnie.
Quant à ses accusations de « dérive autoritaire », elles sont aussi vides que ses analyses sont biaisées. Le Sénégal, sous Macky Sall, a connu des avancées significatives en matière d’infrastructures, de gouvernance économique et de positionnement diplomatique. Les tensions sociales qu’il évoque, ne sont pas le fruit d’un autoritarisme, mais d’un contexte politique où certains se sont crus intouchables, au nom d’une impunité refusée par la République.
Seydi Gassama ferait mieux de se regarder dans un miroir, avant de parler de « leçons à retenir ». Le vrai abus, c’est de manipuler l’opinion internationale avec des rapports partisans, de semer le doute sur les institutions de son propre pays et de se présenter comme défenseur des droits humains, alors qu’on ne fait que recycler les griefs d’une opposition amère.
L’époque où ses déclarations étaient prises pour parole d’Évangile, est révolue. Le Sénégal mérite mieux qu’un donneur de leçons frustré, déguisé en militant des droits humains.
Baba Aïdara,
Journaliste d’investigation
Washington Dc (USA)