Apres la polémique suscitée par le rapport de Human Rights Watch, le ministre de l’Education nationale, Serigne Mbaye Thiam est encore monté au créneau. Hier, sur le plateau du journal de 20h de la RTS, le ministre a porté la réplique aux défenseurs des droits de l’homme. Il s’est inscrit dans la même logique que certains acteurs de l’éducation, en minimisant l’ampleur des harcèlements sexuels à l’école et contester, par la même occasion, la méthodologie utilisée pour les besoins de l'étude.
M. Thiam a déploré que celle-ci ait été réalisée dans 4 régions sur les 14 que compte le Sénégal, mais également avec 142 entretiens et 122 discussions de groupe. Selon son analyse, ce qui qui prouve la faiblesse de l’étude, entre autres, c’est que sur les 142 personnes interrogées, le nombre de victimes n’est pas précisé pour qu’on puisse avoir un pourcentage. Mais à la place, regrette-t-il, l’ONG se contente seulement de relayer les témoignages.
Outre la méthode utilisée, il réfute ‘’catégoriquement’’ la généralisation et l’impunité alléguées. « C’est faux lorsqu’ils disent qu’il est rare de voir des suites judiciaires et que les cas sont sanctionnés très rarement », martèle le ministre de l’Education nationale.
Enquête
M. Thiam a déploré que celle-ci ait été réalisée dans 4 régions sur les 14 que compte le Sénégal, mais également avec 142 entretiens et 122 discussions de groupe. Selon son analyse, ce qui qui prouve la faiblesse de l’étude, entre autres, c’est que sur les 142 personnes interrogées, le nombre de victimes n’est pas précisé pour qu’on puisse avoir un pourcentage. Mais à la place, regrette-t-il, l’ONG se contente seulement de relayer les témoignages.
Outre la méthode utilisée, il réfute ‘’catégoriquement’’ la généralisation et l’impunité alléguées. « C’est faux lorsqu’ils disent qu’il est rare de voir des suites judiciaires et que les cas sont sanctionnés très rarement », martèle le ministre de l’Education nationale.
Enquête
