Les chambres réunies de la Cour suprême se sont penchées aujourd’hui, sur le dossier du promoteur de lutte, Luc Nicolaï. L’homme, semble-t-il, faisant l’objet d’un mandat d’arrêt non exécuté avait formulé un pourvoi en cassation contre la décision rendue par la Cour d’appel de Saint-Louis.
Mais, cette fois, la Cour Suprême saisie d’une demande en rabat d’arrêt, n’a pas suivi. Elle a tout bonnement débouté le promoteur de lutte Luc Nicolaï qui a été condamné à cinq (5) ans de prison, dont un (1) an avec sursis. Et, il devait en sus d’un mandat d’arrêt payer la somme de 100 millions et 200 millions de FCfa, respectivement à Bertrand Touly et, à l’hôtel Lamantin Beach.
Evoquant le mandat d’arrêt non exécuté, Bertrand Touly estimait que le promoteur de lutte n’avait même pas le droit de faire un pourvoi.
Malgré une condamnation à cinq (5) ans d’emprisonnement dont un (1) an avec sursis des chefs de détention de drogue, association de malfaiteurs et complicité de tentative d’extorsion de fonds et un mandat d’arrêt effectif exécutoire. Luc Nicolaï, dans les habits du gentleman arnaqueur, était libre comme le vent.
Vu aujourd’hui, que l’introduction d’un rabat d’arrêt avait imposé l’obligation de surseoir à la décision de justice prise au préalable. Quel sort aura Luc Nicolaï ?
Leral
Mais, cette fois, la Cour Suprême saisie d’une demande en rabat d’arrêt, n’a pas suivi. Elle a tout bonnement débouté le promoteur de lutte Luc Nicolaï qui a été condamné à cinq (5) ans de prison, dont un (1) an avec sursis. Et, il devait en sus d’un mandat d’arrêt payer la somme de 100 millions et 200 millions de FCfa, respectivement à Bertrand Touly et, à l’hôtel Lamantin Beach.
Evoquant le mandat d’arrêt non exécuté, Bertrand Touly estimait que le promoteur de lutte n’avait même pas le droit de faire un pourvoi.
Malgré une condamnation à cinq (5) ans d’emprisonnement dont un (1) an avec sursis des chefs de détention de drogue, association de malfaiteurs et complicité de tentative d’extorsion de fonds et un mandat d’arrêt effectif exécutoire. Luc Nicolaï, dans les habits du gentleman arnaqueur, était libre comme le vent.
Vu aujourd’hui, que l’introduction d’un rabat d’arrêt avait imposé l’obligation de surseoir à la décision de justice prise au préalable. Quel sort aura Luc Nicolaï ?
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