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Pour l'ancienne professeure de Français, l'écrivain de la Renaissance "avait aussi un langage fleuri".


Rédigé le Jeudi 13 Janvier 2022 à 11:44 | Lu 226 fois | 0 commentaire(s)




Pour l'ancienne professeure de Français, l'écrivain de la Renaissance "avait aussi un langage fleuri".
Il ne manquait que la réaction de la Première dame. Plus d’une semaine après la phrase choc d’Emmanuel Macron dans Le Parisien, Brigitte Macron a été invitée ce mercredi 12 janvier à se positionner sur le “très envie emmerder” les-non-vaccinés.

Invitée du JT de 13H de TF1 pour parler de l’opération Pièces Jaunes, la femme du chef de l’État a dû répondre à Jacques Legros, qui avait visiblement très envie d’avoir l’avis de cette ancienne professeur de français sur cette phrase. “En tant qu’ancienne professeure de français, jamais vous n’auriez dit une chose comme ça?”, a demandé le journaliste.

Ne souhaitant pas “commenter les commentaires” après plus d’une semaine de polémique, Brigitte Macron a simplement évoqué l’écrivain humaniste François Rabelais pour défendre Emmanuel Macron: “Bon, j’ai fait étudier Rabelais qui avait aussi un langage fleuri”, tente-t-elle de répondre, en évoquant l’écrivain et médecin du XVIe siècle, connu pour ses livres Pantagruel et Gargantua mais également pour son argot. “Je regarde toujours ce qu’il y a derrière cette phrase, et derrière cette phrase, c’est la situation actuelle à l’hôpital”, juge finalement la Première dame.

Au journaliste de surenchérir. Il demande alors à Brigitte Macron ce qu’elle aimerait, elle, dire aux non-vaccinés. Question délicate à laquelle, elle décide de ne pas réellement répondre, préférant se mettre en retrait des propos du chef de l’État: “Je ne suis pas médecin, je ne suis pas élu, donc qui suis-je, moi, pour aller dire aux gens aller faire ci, aller faire ça”, questionne-t-elle.

 
“Ils ne comprendraient pas et je comprendrais qu’ils ne le comprennent pas, donc je leur dis: ’moi je me fais vacciner parce que je sais qu’il n’y a pas d’autres solutions pour l’instant’”, ajoute-t-elle cependant avant de répéter que qu’elle n’appelle pas frontalement à la vaccination. “Je pense savoir où est ma case”, précise la Première dame qui a toujours assuré qu’elle ne faisait pas de politique.
 
“Je crains la haine”

La Première dame a également confié ses craintes sur le climat politique à moins de 3 mois du premier tour. “Je crains la violence, je crains la haine, je crains aussi cette espèce de crescendo permanent, on va de plus en plus loin”, a-t-elle expliqué. “Pourquoi s’en prendre de cette manière aux élus, avec autant de violence, où est la limite ?”, a-t-elle poursuivi à propos de l’agression dimanche d’un député LREM de Saint-Pierre-et-Miquelon par des antivax. “J’espère que la campagne électorale sera une campagne exemplaire, permettez-moi de rêver parfois”, a-t-elle ajouté.

Elle ne s’est pas exprimée sur la probable candidature d’Emmanuel Macron à un nouveau mandat. “J’ai entendu qu’il en avait envie et qu’il n’avait pas pris sa décision. Donc, comme vous j’attends sa décision”, a-t-elle assuré. “On parle énormément de tout, mais dans le cadre de la présidentielle je tiens à dire qu’en aucune manière je n’essaie de l’influencer, de le convaincre, de le persuader. Jamais. Parce que c’est l’histoire entre les Français et un homme ou une femme et je n’ai absolument pas à intervenir. Je me l’interdis.”


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