Le rappel des faits
Selon les informations rapportées par L’Observateur fin mai, Pathé Baldé a été interpellé à l’Arène nationale par les éléments du commissariat de Pikine, avant d’être placé sous mandat de dépôt. Il est poursuivi pour rébellion, outrage à agents, coups et blessures volontaires.
Le procureur de la République a également requis un mandat d’arrêt international contre Ama Baldé, accusé des mêmes infractions. Le nom de leur neveu, Julo Baldé, est cité dans le dossier et il est activement recherché par les enquêteurs.
Les faits remontent à une altercation survenue au domicile familial des Baldé, lorsque des policiers venus interpeller Julo se seraient heurtés à une opposition d’Ama et de son frère Pathé. Un adjudant de police aurait été blessé, tandis que Julo réussissait à prendre la fuite. Des fouilles au domicile ont ensuite permis de saisir du chanvre indien, selon les procès-verbaux de police.
La version d’Ama Baldé
Face à la polémique, Ama Baldé a tenu à réagir depuis la France, où il se trouve pour des soins médicaux. « Alors que j’étais en France, j’avais déjà subi une opération. Un vieux a appelé Jules Baldé pour lui demander que je vienne pour dix jours. J’ai donc pris un billet d’avion », explique-t-il.
Selon le lutteur, il s’était rendu à la maison familiale uniquement pour récupérer son passeport laissé à sa mère. C’est à ce moment qu’il dit avoir été surpris par des hommes qu’il n’a pas identifiés comme des policiers.
« Ils n’ont pas présenté leur carte, ni garé une voiture de police, ni montré aucun signe prouvant qu’ils étaient de la police. Une altercation a suivi et j’ai quitté les lieux. C’est seulement à mon retour en France que j’ai entendu des rumeurs », affirme Ama Baldé.
Le champion de Pikine insiste : « S’il était venu avec respect, c’est moi qui aurais livré la personne recherchée. Personnellement, j’étais là pour quatre mois pour des raisons médicales. »
Concernant les rumeurs qui circulent, Ama Baldé déclare n’avoir reçu aucune notification officielle dans ce dossier. Il affirme néanmoins être prêt à rentrer au Sénégal : « Je compte revenir, même si je dois passer plusieurs années en prison. »
Selon les informations rapportées par L’Observateur fin mai, Pathé Baldé a été interpellé à l’Arène nationale par les éléments du commissariat de Pikine, avant d’être placé sous mandat de dépôt. Il est poursuivi pour rébellion, outrage à agents, coups et blessures volontaires.
Le procureur de la République a également requis un mandat d’arrêt international contre Ama Baldé, accusé des mêmes infractions. Le nom de leur neveu, Julo Baldé, est cité dans le dossier et il est activement recherché par les enquêteurs.
Les faits remontent à une altercation survenue au domicile familial des Baldé, lorsque des policiers venus interpeller Julo se seraient heurtés à une opposition d’Ama et de son frère Pathé. Un adjudant de police aurait été blessé, tandis que Julo réussissait à prendre la fuite. Des fouilles au domicile ont ensuite permis de saisir du chanvre indien, selon les procès-verbaux de police.
La version d’Ama Baldé
Face à la polémique, Ama Baldé a tenu à réagir depuis la France, où il se trouve pour des soins médicaux. « Alors que j’étais en France, j’avais déjà subi une opération. Un vieux a appelé Jules Baldé pour lui demander que je vienne pour dix jours. J’ai donc pris un billet d’avion », explique-t-il.
Selon le lutteur, il s’était rendu à la maison familiale uniquement pour récupérer son passeport laissé à sa mère. C’est à ce moment qu’il dit avoir été surpris par des hommes qu’il n’a pas identifiés comme des policiers.
« Ils n’ont pas présenté leur carte, ni garé une voiture de police, ni montré aucun signe prouvant qu’ils étaient de la police. Une altercation a suivi et j’ai quitté les lieux. C’est seulement à mon retour en France que j’ai entendu des rumeurs », affirme Ama Baldé.
Le champion de Pikine insiste : « S’il était venu avec respect, c’est moi qui aurais livré la personne recherchée. Personnellement, j’étais là pour quatre mois pour des raisons médicales. »
Concernant les rumeurs qui circulent, Ama Baldé déclare n’avoir reçu aucune notification officielle dans ce dossier. Il affirme néanmoins être prêt à rentrer au Sénégal : « Je compte revenir, même si je dois passer plusieurs années en prison. »