Plusieurs dizaine de migrants ont été tués et des centaines autres blessés mardi 2 juillet au soir, dans une frappe aérienne contre le centre de détention de Tajoura, situé à proximité d'un camp militaire en banlieue de Tripoli.
Selon l’Ong Horizons Sans frontière, des Sénégalais figureraient parmi les victimes. « Nous suivons avec intérêt la situation en Lybie. Selon nos informations, plus centaine de migrants ont été tués et 200 autres blessés dans un raid aérien à Tajoura. Et, parmi eux, des Sénégalais, des Gambiens, des Guinéens et des Erythréens », a notamment déclaré Boubacar Sèye sur Zik Fm.
Un communiqué de la mission de l'ONU cité par les médias français, avance un bilan de 44 morts et plus de 130 personnes blessées, sans plus de précision sur la nationalité des victimes.
"Le bilan pourrait s'aggraver", a indiqué à l'AFP un porte-parole des services de secours, Osama Ali, précisant que 120 migrants étaient détenus dans le hangar qui a été atteint de plein fouet par la frappe.
Plusieurs corps gisaient sur le sol du hangar aux côtés de restes humains mêlés aux affaires et vêtements des migrants maculés de sang. Les services de secours étaient encore à la recherche d'éventuels survivants sous les décombres, tandis que des dizaines d'ambulances se précipitaient sur place, détaille france24.
La frappe contre le centre n'a pas été revendiquée mais des médias proche du maréchal Khalifa Haftar, ont fait état mardi soir, d'une "série de raids aériens" à Tripoli et Tajoura. La banlieue de Tajoura, qui compte plusieurs sites militaires appartenant aux groupes armés proche du Gouvernement d'union nationale (GNA), est régulièrement la cible de raids aériens des forces du maréchal Khalifa Hafta.
Selon l’Ong Horizons Sans frontière, des Sénégalais figureraient parmi les victimes. « Nous suivons avec intérêt la situation en Lybie. Selon nos informations, plus centaine de migrants ont été tués et 200 autres blessés dans un raid aérien à Tajoura. Et, parmi eux, des Sénégalais, des Gambiens, des Guinéens et des Erythréens », a notamment déclaré Boubacar Sèye sur Zik Fm.
Un communiqué de la mission de l'ONU cité par les médias français, avance un bilan de 44 morts et plus de 130 personnes blessées, sans plus de précision sur la nationalité des victimes.
"Le bilan pourrait s'aggraver", a indiqué à l'AFP un porte-parole des services de secours, Osama Ali, précisant que 120 migrants étaient détenus dans le hangar qui a été atteint de plein fouet par la frappe.
Plusieurs corps gisaient sur le sol du hangar aux côtés de restes humains mêlés aux affaires et vêtements des migrants maculés de sang. Les services de secours étaient encore à la recherche d'éventuels survivants sous les décombres, tandis que des dizaines d'ambulances se précipitaient sur place, détaille france24.
La frappe contre le centre n'a pas été revendiquée mais des médias proche du maréchal Khalifa Haftar, ont fait état mardi soir, d'une "série de raids aériens" à Tripoli et Tajoura. La banlieue de Tajoura, qui compte plusieurs sites militaires appartenant aux groupes armés proche du Gouvernement d'union nationale (GNA), est régulièrement la cible de raids aériens des forces du maréchal Khalifa Hafta.
