Le parquet avait requis deux ans d'emprisonnement ferme contre la fille Seynabou Ndiaye. Cette dernière qui se dit être fan de l'ex-agresseur « Doff Ndèye », devenu rappeur a été trainée à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar pour offre ou cession de drogue. « Le jour des faits, c'est une de mes connaissances qui m'a informé de la présence de « Doff Ndèye » dans l'auberge. Comme je suis son fan, je suis allée à sa rencontre.
Après avoir pris une photo avec lui, la police nous a trouvés dans la chambre. Aussitôt Doff Ndèye et son acolyte ont escaladé la fenêtre avant de se fondre dans la nature. C'est dans ces circonstances que les limiers m'avaient interpelé. Parce qu'ils avaient découvert 1kg de chanvre indien sur les lieux. Mais, je ne suis ni une fumeuse ni une vendeuse de ce produit prohibé », a contesté la prévenue.
Dans son réquisitoire, le parquet a souligné que les limiers avaient surpris la prévenue et ses acolytes qui ont pris la fuite en train de conditionner la drogue. « Ils avaient même une paire de ciseau avec eux. Interrogée par les enquêteurs, Seynabou Ndiaye avait reconnu les faits. Donc, ses dénégations ne sauraient prospérer », a relevé le maître des poursuites.
Ainsi, il a sollicité deux ans d'emprisonnement ferme contre la prévenue.
Prenant son contrepied, la défense a plaidé la relaxe. Pour Me Michel Ndong, sa cliente s'était retrouvée à cet endroit au mauvais moment.
Une demande qu'a suivie le juge, qui a finalement relaxé la prévenue.
Kady FATY Leral
Après avoir pris une photo avec lui, la police nous a trouvés dans la chambre. Aussitôt Doff Ndèye et son acolyte ont escaladé la fenêtre avant de se fondre dans la nature. C'est dans ces circonstances que les limiers m'avaient interpelé. Parce qu'ils avaient découvert 1kg de chanvre indien sur les lieux. Mais, je ne suis ni une fumeuse ni une vendeuse de ce produit prohibé », a contesté la prévenue.
Dans son réquisitoire, le parquet a souligné que les limiers avaient surpris la prévenue et ses acolytes qui ont pris la fuite en train de conditionner la drogue. « Ils avaient même une paire de ciseau avec eux. Interrogée par les enquêteurs, Seynabou Ndiaye avait reconnu les faits. Donc, ses dénégations ne sauraient prospérer », a relevé le maître des poursuites.
Ainsi, il a sollicité deux ans d'emprisonnement ferme contre la prévenue.
Prenant son contrepied, la défense a plaidé la relaxe. Pour Me Michel Ndong, sa cliente s'était retrouvée à cet endroit au mauvais moment.
Une demande qu'a suivie le juge, qui a finalement relaxé la prévenue.
Kady FATY Leral