Le fait d’être porté à la tête de l’Ums constitue un véritable challenge. Comme quoi, il doit réussir là ou son prédécesseur aurait échoué c’est-à-dire se rapprocher davantage de l’Exécutif en vue de le faire pousser dans le sens d’accepter les réformes destinées à renforcer l’indépendance de la Justice
L’Indépendance et l’impartialité constituent les deux principes fondamentaux de tout système judiciaire. Ils garantissent aux justiciables que l’acte de juger sera seulement déterminé par les arguments du débat judiciaire, en dehors de toute pression ou de tout préjugé. Toujours est-il que « Chimére », comme l’appellent affectueusement ses collègues et amis, est un homme convivial, ouvert et humain. Un homme doublé d’un juge voire d’un magistrat intègre, rigoureux, effacé, discret, brillant et attentif. Bref, le tout nouveau président de l’Ums est un vrai juge des faits. Ou alors un brillant juge de fond !
En tout cas, il toujours incarné cette indépendance partout où il est passé. Et dans toutes grosses affaires qui ont eu à faire l’actualité judiciaire ou politico-judiciaire. La preuve par l’affaire Aida Ndiongue ! Malgré les pressions de tous azimuts, le juge Ousmane Chimère Diouf avait pris son courage, son professionnalisme et son indépendance en deux mains pour faire appliquer la loi et rendre justice. Verdict : Il a ordonné la restitution des biens de l’ex : sénatrice Aida Ndiongue c’est-à-dire confirmer la première décision rendue par ses collègues.
Jugeant les faits, le président Ousmane Chimère Diouf avait condamné Mme Aida Ndiongue à un an avec sursis et une amende de 2 millions fcfa dans le procès l’opposant à l’Etat du Sénégal.
L’ancien président du tribunal régional de Tambacounda, Saint-Louis et Thiès, Ousmane Chimène Diouf s’était aussi distingué dans l’affaire de l’assassinat du policier Fodé Ndiaye.
Le guillotineur des assassins !
Face aux pressions de la rue et aux lobbies politiques, le juge Chimère Diouf présidant la Cour d’Assises avait déclaré coupables les jeunes de Colobane avant de les condamner à 20 ans de travaux pour assassinat et complicité d’assassinat.
A la fin de cette première session de la Cour d’assises de Dakar en 2015, le président Chimére Diouf s’était confié en exclusivité au « Témoin » quotidien
L’Indépendance et l’impartialité constituent les deux principes fondamentaux de tout système judiciaire. Ils garantissent aux justiciables que l’acte de juger sera seulement déterminé par les arguments du débat judiciaire, en dehors de toute pression ou de tout préjugé. Toujours est-il que « Chimére », comme l’appellent affectueusement ses collègues et amis, est un homme convivial, ouvert et humain. Un homme doublé d’un juge voire d’un magistrat intègre, rigoureux, effacé, discret, brillant et attentif. Bref, le tout nouveau président de l’Ums est un vrai juge des faits. Ou alors un brillant juge de fond !
En tout cas, il toujours incarné cette indépendance partout où il est passé. Et dans toutes grosses affaires qui ont eu à faire l’actualité judiciaire ou politico-judiciaire. La preuve par l’affaire Aida Ndiongue ! Malgré les pressions de tous azimuts, le juge Ousmane Chimère Diouf avait pris son courage, son professionnalisme et son indépendance en deux mains pour faire appliquer la loi et rendre justice. Verdict : Il a ordonné la restitution des biens de l’ex : sénatrice Aida Ndiongue c’est-à-dire confirmer la première décision rendue par ses collègues.
Jugeant les faits, le président Ousmane Chimère Diouf avait condamné Mme Aida Ndiongue à un an avec sursis et une amende de 2 millions fcfa dans le procès l’opposant à l’Etat du Sénégal.
L’ancien président du tribunal régional de Tambacounda, Saint-Louis et Thiès, Ousmane Chimène Diouf s’était aussi distingué dans l’affaire de l’assassinat du policier Fodé Ndiaye.
Le guillotineur des assassins !
Face aux pressions de la rue et aux lobbies politiques, le juge Chimère Diouf présidant la Cour d’Assises avait déclaré coupables les jeunes de Colobane avant de les condamner à 20 ans de travaux pour assassinat et complicité d’assassinat.
A la fin de cette première session de la Cour d’assises de Dakar en 2015, le président Chimére Diouf s’était confié en exclusivité au « Témoin » quotidien