Les professeurs et les élèves du nouveau lycée de Kaolack ont barré, ce mercredi, la route nationale pendant au moins 2 heures. La raison : une élève en classe de 1re a été mortellement fauchée par un camion.
Par ailleurs, les responsables de l'établissement disent avoir usé de tous les recours pour avoir des ralentisseurs à ce niveau, en vain. Porte-parole dudit lycée, Younga Diouf et non moins professeur d'histoire et de géographie déclare : "Chaque année, pratiquement, il y a mort d'homme. C'est des camions qui fauchent des élèvent où des motos Jakarta qui les blessent.
Ce mardi, une de nos filles a été tuée. Tout cela pour dire que nous sommes fatigués. Nous allons réagir. Cela n'est qu'un signe, raison pour laquelle nous avons choisi de faire un sit-in sur la nationale et de bloquer la circulation au moins pour un temps bien déterminé, histoire de se faire entendre."
La manifestation de protestation a été dispersée par la police à coups de gaz lacrymogènes.
Par ailleurs, les responsables de l'établissement disent avoir usé de tous les recours pour avoir des ralentisseurs à ce niveau, en vain. Porte-parole dudit lycée, Younga Diouf et non moins professeur d'histoire et de géographie déclare : "Chaque année, pratiquement, il y a mort d'homme. C'est des camions qui fauchent des élèvent où des motos Jakarta qui les blessent.
Ce mardi, une de nos filles a été tuée. Tout cela pour dire que nous sommes fatigués. Nous allons réagir. Cela n'est qu'un signe, raison pour laquelle nous avons choisi de faire un sit-in sur la nationale et de bloquer la circulation au moins pour un temps bien déterminé, histoire de se faire entendre."
La manifestation de protestation a été dispersée par la police à coups de gaz lacrymogènes.