La victime vit sous la tutelle de sa grande sœur, elle-même épouse du jeune frère de son violeur. Des vertiges et vomissements à deux reprises à l’école et à la maison, ont poussé la sœur de M. A. Mbaye à requérir les services des sages-femmes du Centre de Santé de Darou Tanzil et du gynécologue de l’hôpital Matlaboul Fawzeyni. Réclamant un certificat de santé, instruction leur a été donnée de saisir la police pour une réquisition.
Le certificat médical du gynécologue de l’hôpital Matlaboul Fawzeyni, a révélé une défloration de l’hymen de la jeune fille.
Interpellé sur l’auteur de cet acte, la jeune fille, les larmes aux yeux, donne le nom de son violeur, qui n’est autre que M. K. Diop.
Selon M. A. Mbaye, elle a été violée à trois (3) reprises, deux fois dans la chambre de M. K. Diop, et une fois dans la chambre de la mère de ce dernier, sous la menace d'un couteau. « Une fois, il m’a trouvée nuitamment dans la chambre de sa mère, il me faisait des attouchements quand j’ai crié, la mère de M. K. Diop m’a intimé l’ordre de me taire, pour ne pas créer des problèmes dans la famille », a fait savoir la jeune fille.
D'après "Le Soleil", le maçon, trouvé sur son chantier aux Hlm, a été interpellé. Devant les enquêteurs, il a nié en bloc les faits, arguant qu’il envoyait seulement la fille dans sa chambre et celle de sa mère a lui, ou elle lui servait, soit le diner ou le pain, mais il ne l’a jamais touchée.
En confrontation avec son accusatrice, la fille, en larmes et débarrassée de toute crainte révérencielle envers son violeur, est revenue avec force détails sur ses accusations, allant même jusqu’à inviter M. K. Diop à jurer sur le Saint Coran et d’assumer ses responsabilités.
Le certificat médical du gynécologue de l’hôpital Matlaboul Fawzeyni, a révélé une défloration de l’hymen de la jeune fille.
Interpellé sur l’auteur de cet acte, la jeune fille, les larmes aux yeux, donne le nom de son violeur, qui n’est autre que M. K. Diop.
Selon M. A. Mbaye, elle a été violée à trois (3) reprises, deux fois dans la chambre de M. K. Diop, et une fois dans la chambre de la mère de ce dernier, sous la menace d'un couteau. « Une fois, il m’a trouvée nuitamment dans la chambre de sa mère, il me faisait des attouchements quand j’ai crié, la mère de M. K. Diop m’a intimé l’ordre de me taire, pour ne pas créer des problèmes dans la famille », a fait savoir la jeune fille.
D'après "Le Soleil", le maçon, trouvé sur son chantier aux Hlm, a été interpellé. Devant les enquêteurs, il a nié en bloc les faits, arguant qu’il envoyait seulement la fille dans sa chambre et celle de sa mère a lui, ou elle lui servait, soit le diner ou le pain, mais il ne l’a jamais touchée.
En confrontation avec son accusatrice, la fille, en larmes et débarrassée de toute crainte révérencielle envers son violeur, est revenue avec force détails sur ses accusations, allant même jusqu’à inviter M. K. Diop à jurer sur le Saint Coran et d’assumer ses responsabilités.