Ménage à trois: Inna Diagne, son mari, son ex-copain Djibril Diop et le père de son fils


Rédigé le Vendredi 7 Février 2020 à 21:45 | Lu 442 fois | 0 commentaire(s)




Ménage à trois: Inna Diagne, son mari, son ex-copain Djibril Diop et le père de son fils
Agent municipal à la mairie de Mermoz-Sacré-CÅ“ur, Inna Diagne risque gros. En complicité avec son mari Moctar Ndiaye, elle a modifié l’extrait de naissance de son fils Ibrahima Diop issu de sa relation avec Djibril Diop (son ex-amant. En effet, la dame et son mari ont fait établir de nouveaux papiers pour le petit en le faisant passer pour le fils de Moctar Ndiaye. Informé du changement de nom de son fils qui est devenu Ibrahima Ndiaye (en lieu et place de Ibrahima Diop), Djibril Diop a décidé de poursuivre Inna Diagne et son époux Moctar Ndiaye pour faux, usage de faux et complicité portant sur un document administratif. A la barre hier, Inna Diagne a reconnu sa relation amoureuse avec Djibril Diop durant 6 ans. Toutefois, elle a soutenu mordicus que ce dernier n’est pas le père de l’enfant en ce sens qu’elle avait également une liaison avec Moctar Ndiaye, son actuel mari. «Celui-ci est le père biologique de mon fils», a-t-elle clamé. 
Interrogé à son tour, Moctar Ndiaye abonde dans le même sens : « On a eu une relation amoureuse dans les années 2000, mais c’est tardivement que j’ai su que j’étais le père biologique. J’ai entrepris toutes les formalités nécessaires pour donner mon nom à mon fils dont je venais de faire la découverte. C’est ainsi que j’ai obtenu un acte de naissance lors d’une audience foraine tenue à la mairie de Mermoz Sacré Cœur», renseigne-t-il. Les vérifications effectuées au niveau du Centre d’état civil de Le Dantec montrent que l’extrait produit par Djibril Diop ne souffre d’aucune contestation dans sa validité dans la mesure où il a été régulièrement transcrit dans le registre des actes de naissance dudit hôpital. Par contre, celui présenté par Inna Diagne n’a pas été obtenu suivant une procédure adéquate dans la mesure où la déclaration est suspicieuse, car étant faite le 30 janvier 2001 qui correspond à un dimanche, jour non ouvrable. Par conséquent, la mairie n’a pas pu transcrire d’acte de naissance. Etant donné qu’il ne s’agit pas d’une déclaration tardive de naissance, elle a été gardée à vue et déférée au parquet. Ce dossier a été renvoyé au 11 février prochain pour la comparution du plaignant.


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