Ababacar Lo, Inspecteur au Ministère de l’Éducation nationale chargé de la division établissement – vie scolaire, a souligné l’importance de ce projet en déclarant que « aujourd'hui, on a franchi un pas important dans la gestion de l'établissement, dans la mesure où, quand on parle de développement durable, on doit commencer par l'école, parce que l'école est la base de tout développement. »
Il a aussi insisté sur l’engagement du ministère à travers le projet « NITÉ », qui vise à renforcer l’implication des établissements dans la gestion durable. Pour lui, « le développement durable, c'est que, quand on se rend compte qu'aujourd'hui les déchets plastiques polluent l'humanité, il faut trouver une solution ». Il a ajouté que « lutter contre la pollution plastique demande d’être ingénieur, agile. Au lieu de jeter ces déchets, nous allons nous réunir, trouver des solutions adaptées, transformer ces matières plastiques. C'est ce qu'on a fait avec nos partenaires, qui ont pu transformer les plastiques, les amener dans les écoles, les offrir gratuitement, et pousser les enfants à comprendre que la gestion des ordures est leur devoir. »
Selon l’inspecteur, éduquer les enfants dès aujourd’hui, c’est préparer les leaders de demain. « L'école est la base du développement. Tout ce que nous pouvons faire, c'est avec les enfants. Ils grandiront, ce sont eux qui dirigeront le pays et les entreprises. Poser les bases du développement durable, c'est aller dans le bon sens. », a-t-il précisé.
Mame Aita Ba, Directrice générale adjointe de Plastic Odyssey, a rappelé le travail collectif accompli avec Joliba Institute. « C'est le fruit d'un très grand travail réalisé avec Joliba Institute et Plastic Odyssey, dans toute sa globalité, que ce soit Factory ou Community. », a-t-elle affirmé.
Elle a mis en avant l’importance d’éduquer la jeunesse à la protection de la nature. Pour elle, « cette nouvelle génération doit être sensibilisée à ne pas jeter les ordures. La pollution plastique est un phénomène très dangereux. En juin, le thème portera sur la pollution plastique. C’est un pas en avant pour initier nos jeunes frères et sœurs, nos enfants, à être sensibles à la nature, mais aussi à participer à l'économie circulaire des déchets. »
La directrice a présenté l’ambition du projet, qui a démarré par une phase test. « Nous avons commencé avec 29 écoles, avec l’accompagnement de Joliba. Nous allons, inshallah, continuer dans toutes les régions du Sénégal, faire le tour du pays. C’est ça le projet, c’est l’ambition que nous avons, et c’est vers l'action citoyenne dans laquelle nous sommes. », a-t-elle indiqué.
Mariam Aidara, Présidente de l’Institut Joliba, a décrit la portée éducative de cette initiative en soulignant que « aujourd'hui, nous assistons à la remise symbolique de mobilier dans le cadre d'un programme pédagogique intitulé “Les Apprentis Explorateurs”. »
Ce programme est porté par l’association française Plastic Odyssey Community et mis en œuvre au Sénégal par l’Institut Joliba avec le soutien du ministère de l’Éducation nationale et de l’ambassade de France. « Pour nous, il était important de sensibiliser la nouvelle génération à la pollution plastique dans le cadre global de la lutte contre le changement climatique. Nous pensons que l'école est un excellent vecteur pour ce combat. », ajoute la présidente de l’institut.
Après une phase pilote auprès d’une vingtaine d’établissements entre Dakar et Saint-Louis, l’objectif est clair. Selon elle, « l’ambition est de déployer ce projet dans tout le Sénégal. Après suivi et évaluation, pourquoi ne pas intégrer ce programme dans le cursus général du pays ? Le message de sensibilisation est qu’ils peuvent être acteurs du changement dans leur famille et travailler pour un avenir plus propre et responsable. »
Birame Khary Ndaw
Il a aussi insisté sur l’engagement du ministère à travers le projet « NITÉ », qui vise à renforcer l’implication des établissements dans la gestion durable. Pour lui, « le développement durable, c'est que, quand on se rend compte qu'aujourd'hui les déchets plastiques polluent l'humanité, il faut trouver une solution ». Il a ajouté que « lutter contre la pollution plastique demande d’être ingénieur, agile. Au lieu de jeter ces déchets, nous allons nous réunir, trouver des solutions adaptées, transformer ces matières plastiques. C'est ce qu'on a fait avec nos partenaires, qui ont pu transformer les plastiques, les amener dans les écoles, les offrir gratuitement, et pousser les enfants à comprendre que la gestion des ordures est leur devoir. »
Selon l’inspecteur, éduquer les enfants dès aujourd’hui, c’est préparer les leaders de demain. « L'école est la base du développement. Tout ce que nous pouvons faire, c'est avec les enfants. Ils grandiront, ce sont eux qui dirigeront le pays et les entreprises. Poser les bases du développement durable, c'est aller dans le bon sens. », a-t-il précisé.
Mame Aita Ba, Directrice générale adjointe de Plastic Odyssey, a rappelé le travail collectif accompli avec Joliba Institute. « C'est le fruit d'un très grand travail réalisé avec Joliba Institute et Plastic Odyssey, dans toute sa globalité, que ce soit Factory ou Community. », a-t-elle affirmé.
Elle a mis en avant l’importance d’éduquer la jeunesse à la protection de la nature. Pour elle, « cette nouvelle génération doit être sensibilisée à ne pas jeter les ordures. La pollution plastique est un phénomène très dangereux. En juin, le thème portera sur la pollution plastique. C’est un pas en avant pour initier nos jeunes frères et sœurs, nos enfants, à être sensibles à la nature, mais aussi à participer à l'économie circulaire des déchets. »
La directrice a présenté l’ambition du projet, qui a démarré par une phase test. « Nous avons commencé avec 29 écoles, avec l’accompagnement de Joliba. Nous allons, inshallah, continuer dans toutes les régions du Sénégal, faire le tour du pays. C’est ça le projet, c’est l’ambition que nous avons, et c’est vers l'action citoyenne dans laquelle nous sommes. », a-t-elle indiqué.
Mariam Aidara, Présidente de l’Institut Joliba, a décrit la portée éducative de cette initiative en soulignant que « aujourd'hui, nous assistons à la remise symbolique de mobilier dans le cadre d'un programme pédagogique intitulé “Les Apprentis Explorateurs”. »
Ce programme est porté par l’association française Plastic Odyssey Community et mis en œuvre au Sénégal par l’Institut Joliba avec le soutien du ministère de l’Éducation nationale et de l’ambassade de France. « Pour nous, il était important de sensibiliser la nouvelle génération à la pollution plastique dans le cadre global de la lutte contre le changement climatique. Nous pensons que l'école est un excellent vecteur pour ce combat. », ajoute la présidente de l’institut.
Après une phase pilote auprès d’une vingtaine d’établissements entre Dakar et Saint-Louis, l’objectif est clair. Selon elle, « l’ambition est de déployer ce projet dans tout le Sénégal. Après suivi et évaluation, pourquoi ne pas intégrer ce programme dans le cursus général du pays ? Le message de sensibilisation est qu’ils peuvent être acteurs du changement dans leur famille et travailler pour un avenir plus propre et responsable. »
Birame Khary Ndaw