
L’argent des émigrés contrairement à ce qui se dit sert à soutenir la croissance car sans consommation, il y en a pas. Si l’argent des émigrés ne servait pas à nourrir, payer des scolarités, soigner, habiller et construire des maisons, l’État ferait face à des troubles sociaux, une inflation forte et fatalement une menace sur la paix sociale.
Quand plus de 2000 milliards circulent dans un pays, forcément ça a une fonction sociale et évidemment économique.
La vérité est que l’État a toujours caché les véritables impacts de l’argent des émigrés pour masquer ses carences dans les secteurs sociaux.
Ce n’est pas de l’argent qu’il faut demander aux émigrés mais leur accorder des facilités sans limites pour les aider à mieux aider leur pays.
Ndao Badou Le Médiateur.