Dakar en marche vers 2022. Un an après l’attribution des Jeux olympiques de la Jeunesse à Dakar, le 8 octobre 2018 à Buenos Aires (Argentine), le Comité International Olympique (Cio) loue les avancées effectuées par le Sénégal.
«Nous sommes à la fois satisfaits et confiants», s’est félicité d’emblée le Directeur exécutif des Jeux olympiques, hier, en marge de la clôture des travaux au King Fahd Palace. Christophe Dubi se dit aussi comblé de voir que les délais sont respectés. «Après une année, on avait raison d’être ambitieux. Nous sommes exactement où nous souhaitions être : à savoir un plan qui est clair sur la disposition physique, la connaissance des sites et ceux qui vont être rénovés. On les a visités hier. Nous connaissons les travaux qui vont être effectués. Nous avons des bases sur les grands domaines logistiques qui sont clairs : le Village olympique, l’hébergement des athlètes, les grands éléments de transport, la technologie, etc.»
«Laisser un héritage positif à Dakar et à l’Afrique»
Et pour arriver à ces résultats, les organisateurs ont été «assez ambitieux», en puisant notamment dans l’expérience du passé. « Parce que nous avons appris des Jeux précédents et des JOJ précédents, que c’est réellement dans les premiers mois de la première année que les fondations solides se bâtissent ensemble. C’est au début d’un projet qu’on peut réellement faire une différence», assure Christophe Dubi, qui loue «un travail technique rigoureux», un « état d’esprit d’équipe » et « la qualité de la relation entre les différents acteurs».
«C’est comme ça qu’on arrive à livrer un projet ambitieux qui va non seulement laisser un héritage positif à Dakar, au Sénégal, mais probablement rayonner beaucoup plus loin sur le continent africain.» A l’image du Directeur exécutif des Jeux olympiques, le Coordonnateur général des JOJ Dakar 2022 s’est également réjoui des avancées. «Globalement, c’est un sentiment de satisfaction. Ils (le CIO) ont apprécié le niveau d’avancement», assure Ibrahima Wade, qui perçoit les appréciations comme «un encouragement et un défi».
A la tête de la Commission de coordination des JOJ Dakar 2022, instance locale synonyme de chambre d’évaluation, il met en avant un «travail d’arrache-pied avec le CIO» et salue la co-construction (CIO, CNOSS et Dakar 2022) qui a permis d’arriver à ces résultats notables.
Conformément à une nouvelle méthode de travail inspirée de l’Agenda olympique 2020 et aux normes du Comité International Olympique, l’équipe locale travaille en étroite collaboration avec les équipes du CIO, pour élaborer une feuille de route commune jusqu’aux JOJ Dakar 2022.
Et à la vitesse d’exécution des travaux et au vu des résultats obtenus jusque-là, le Directeur exécutif des Jeux olympiques salue un «degré de maturité» qui «permettra d’avoir très rapidement, à la fin du premier trimestre de l’année prochaine, un budget extrêmement précis qui respectera les engagements pris lors de la candidature (de Dakar) au CIO et du côté du Sénégal».
Pour les prochains Jeux olympiques de la Jeunesse Dakar 2022, les premiers organisés en Afrique, 8 sites ont été retenus et répartis à travers la capitale (Piscine olympique, Stade Iba Mar Diop, Caserne Samba Diéry Diallo, Arène nationale de lutte), Saly Portudal (Saly Beach, Golf de Saly) et Diamniadio (Dakar Arena, Dakar Expo Center et CICAD), qui doit notamment voir sortir de terre le futur stade olympique.
Source L’Observateur
«Nous sommes à la fois satisfaits et confiants», s’est félicité d’emblée le Directeur exécutif des Jeux olympiques, hier, en marge de la clôture des travaux au King Fahd Palace. Christophe Dubi se dit aussi comblé de voir que les délais sont respectés. «Après une année, on avait raison d’être ambitieux. Nous sommes exactement où nous souhaitions être : à savoir un plan qui est clair sur la disposition physique, la connaissance des sites et ceux qui vont être rénovés. On les a visités hier. Nous connaissons les travaux qui vont être effectués. Nous avons des bases sur les grands domaines logistiques qui sont clairs : le Village olympique, l’hébergement des athlètes, les grands éléments de transport, la technologie, etc.»
«Laisser un héritage positif à Dakar et à l’Afrique»
Et pour arriver à ces résultats, les organisateurs ont été «assez ambitieux», en puisant notamment dans l’expérience du passé. « Parce que nous avons appris des Jeux précédents et des JOJ précédents, que c’est réellement dans les premiers mois de la première année que les fondations solides se bâtissent ensemble. C’est au début d’un projet qu’on peut réellement faire une différence», assure Christophe Dubi, qui loue «un travail technique rigoureux», un « état d’esprit d’équipe » et « la qualité de la relation entre les différents acteurs».
«C’est comme ça qu’on arrive à livrer un projet ambitieux qui va non seulement laisser un héritage positif à Dakar, au Sénégal, mais probablement rayonner beaucoup plus loin sur le continent africain.» A l’image du Directeur exécutif des Jeux olympiques, le Coordonnateur général des JOJ Dakar 2022 s’est également réjoui des avancées. «Globalement, c’est un sentiment de satisfaction. Ils (le CIO) ont apprécié le niveau d’avancement», assure Ibrahima Wade, qui perçoit les appréciations comme «un encouragement et un défi».
A la tête de la Commission de coordination des JOJ Dakar 2022, instance locale synonyme de chambre d’évaluation, il met en avant un «travail d’arrache-pied avec le CIO» et salue la co-construction (CIO, CNOSS et Dakar 2022) qui a permis d’arriver à ces résultats notables.
Conformément à une nouvelle méthode de travail inspirée de l’Agenda olympique 2020 et aux normes du Comité International Olympique, l’équipe locale travaille en étroite collaboration avec les équipes du CIO, pour élaborer une feuille de route commune jusqu’aux JOJ Dakar 2022.
Et à la vitesse d’exécution des travaux et au vu des résultats obtenus jusque-là, le Directeur exécutif des Jeux olympiques salue un «degré de maturité» qui «permettra d’avoir très rapidement, à la fin du premier trimestre de l’année prochaine, un budget extrêmement précis qui respectera les engagements pris lors de la candidature (de Dakar) au CIO et du côté du Sénégal».
Pour les prochains Jeux olympiques de la Jeunesse Dakar 2022, les premiers organisés en Afrique, 8 sites ont été retenus et répartis à travers la capitale (Piscine olympique, Stade Iba Mar Diop, Caserne Samba Diéry Diallo, Arène nationale de lutte), Saly Portudal (Saly Beach, Golf de Saly) et Diamniadio (Dakar Arena, Dakar Expo Center et CICAD), qui doit notamment voir sortir de terre le futur stade olympique.
Source L’Observateur