L’hôpital Principal de Dakar a réalisé avec succès, la première implantation percutanée de valve aortique au Sénégal et en Afrique de l’Ouest, a appris l’APS de source informée.
Effectuée le 8 décembre 2025, cette implantation marque ainsi l’entrée du Sénégal dans une nouvelle ère médicale, selon des médias locaux.
L’équipe dirigée par le lieutenant-colonel Mouhamed Chérif Mboup, chef de service cardiologie de l’hôpital Principal de Dakar, a réussi cette prouesse sur une patiente octogénaire qui, après deux années de lutte contre la maladie, a bénéficié d’une intervention d’une heure.
Les mêmes sources parlent d’une technologie qui nécessitait, jusque-là, des évacuations sanitaires à l’étranger, signalent les mêmes sources, précisant la valve est parfaitement positionnée et l’équipe mobilisée était composée à 100 % de spécialistes sénégalais.
Le médecin-colonel Mouhamed Chérif Mboup a appelé les pouvoirs publics à davantage soutenir ce type d’interventions, “pouvant coûter jusqu’à 13 millions de francs Cfa”.
Selon le cardiologue Cheikh Tidiane Ndaw, interrogé par la Télévisions futurs médias (privé) et membre de l’équipe opératoire, cette technique découverte en 2002 en France, “permet de remplacer la valve aortique du patient, sans ouvrir la poitrine”.
Cette avancée constitue une étape majeure dans la prise en charge des maladies cardiovasculaires au Sénégal.
Au-delà de la prouesse scientifique, elle traduit également une certaine évolution du système de santé, à travers notamment, le renforcement de l’expertise locale, la limitation des évacuations sanitaires et la volonté de positionner Dakar comme un hub médical régional.
Effectuée le 8 décembre 2025, cette implantation marque ainsi l’entrée du Sénégal dans une nouvelle ère médicale, selon des médias locaux.
L’équipe dirigée par le lieutenant-colonel Mouhamed Chérif Mboup, chef de service cardiologie de l’hôpital Principal de Dakar, a réussi cette prouesse sur une patiente octogénaire qui, après deux années de lutte contre la maladie, a bénéficié d’une intervention d’une heure.
Les mêmes sources parlent d’une technologie qui nécessitait, jusque-là, des évacuations sanitaires à l’étranger, signalent les mêmes sources, précisant la valve est parfaitement positionnée et l’équipe mobilisée était composée à 100 % de spécialistes sénégalais.
Le médecin-colonel Mouhamed Chérif Mboup a appelé les pouvoirs publics à davantage soutenir ce type d’interventions, “pouvant coûter jusqu’à 13 millions de francs Cfa”.
Selon le cardiologue Cheikh Tidiane Ndaw, interrogé par la Télévisions futurs médias (privé) et membre de l’équipe opératoire, cette technique découverte en 2002 en France, “permet de remplacer la valve aortique du patient, sans ouvrir la poitrine”.
Cette avancée constitue une étape majeure dans la prise en charge des maladies cardiovasculaires au Sénégal.
Au-delà de la prouesse scientifique, elle traduit également une certaine évolution du système de santé, à travers notamment, le renforcement de l’expertise locale, la limitation des évacuations sanitaires et la volonté de positionner Dakar comme un hub médical régional.








