Ces anciens cadres, qui ne peuvent être licenciés sans motif légal, continuent de percevoir leur salaire. Parallèlement, les nouvelles recrues bénéficient d’une rémunération équivalente, créant une situation de double charge pour les finances publiques.
Ce phénomène touche plusieurs administrations centrales, agences, et directions. Des directeurs généraux, des inspecteurs, et même des chefs de service, se retrouvent payés sans fonctions réelles, pendant que leurs remplaçants exercent à leur place.
En plus de cette double charge, l’élargissement des cabinets ministériels et la multiplication des postes de conseillers et chargés de mission, contribuent à alourdir la masse salariale.
Plusieurs voix s’élèvent pour appeler à un audit rigoureux de la fonction publique et à une dépolitisation des nominations. La gestion des ressources humaines de l’État est devenue un véritable défi budgétaire et moral, pour un pays qui aspire à plus de transparence et d’efficacité.
L’heure est à la rationalisation, à la responsabilisation et à la restauration du mérite, dans l’administration publique.
Ce phénomène touche plusieurs administrations centrales, agences, et directions. Des directeurs généraux, des inspecteurs, et même des chefs de service, se retrouvent payés sans fonctions réelles, pendant que leurs remplaçants exercent à leur place.
En plus de cette double charge, l’élargissement des cabinets ministériels et la multiplication des postes de conseillers et chargés de mission, contribuent à alourdir la masse salariale.
Plusieurs voix s’élèvent pour appeler à un audit rigoureux de la fonction publique et à une dépolitisation des nominations. La gestion des ressources humaines de l’État est devenue un véritable défi budgétaire et moral, pour un pays qui aspire à plus de transparence et d’efficacité.
L’heure est à la rationalisation, à la responsabilisation et à la restauration du mérite, dans l’administration publique.