La décision d'expulser Mamadou Diop surnommé "Diop Iseg" de la villa de Sacré-Cœur où il vit avec sa famille, par son ex-seconde épouse, Aïssata Seydi a été rendue le 28 septembre dernier. Dans son ordonnance d'expulsion, le juge des référés a motivé sa décision par le fait qu'Aïssatou Seydi détient un droit définitif et inattaquable sur l'immeuble.
En effet, selon Les Echos, Mme Seydi s’est prévalue d’un état des droits réels attestant sa propriété sur l’immeuble objet du lot N°9023 à distraire du TF N°399/GR sis à Sacré-Cœur 3. Sur ces entrefaites, elle a demandé, outre Mamadou Diop, l’expulsion des autres occupants, en l’occurrence, Mbissine Ndiaye, Fatou Diop ainsi que la société de gardiennage dite Ninki Pro Sécurité.
S’agissant des motivations sur le fond, c’est-à -dire sur l’expulsion, le juge s’est fondé sur l’état de droit établi le 20 mai 2020 et dressé par le notaire Me Bineta Thiam Diop, qui atteste que « la propriété résulte de l’acquisition de l’immeuble auprès du sieur Mamadou Bâ au prix de 150.000.000 F Cfa ».
L'autre argument brandi porte sur les liens du mariage. Selon le juge des référés, « il n'y a pas encore de preuve d'une décision de divorce ».
Attendu qu’en définitive, Mamadou Diop ne justifie d’aucun droit ni titre d'occupation sur l'immeuble objet du lot Numéro 9023.
En effet, selon Les Echos, Mme Seydi s’est prévalue d’un état des droits réels attestant sa propriété sur l’immeuble objet du lot N°9023 à distraire du TF N°399/GR sis à Sacré-Cœur 3. Sur ces entrefaites, elle a demandé, outre Mamadou Diop, l’expulsion des autres occupants, en l’occurrence, Mbissine Ndiaye, Fatou Diop ainsi que la société de gardiennage dite Ninki Pro Sécurité.
S’agissant des motivations sur le fond, c’est-à -dire sur l’expulsion, le juge s’est fondé sur l’état de droit établi le 20 mai 2020 et dressé par le notaire Me Bineta Thiam Diop, qui atteste que « la propriété résulte de l’acquisition de l’immeuble auprès du sieur Mamadou Bâ au prix de 150.000.000 F Cfa ».
L'autre argument brandi porte sur les liens du mariage. Selon le juge des référés, « il n'y a pas encore de preuve d'une décision de divorce ».
Attendu qu’en définitive, Mamadou Diop ne justifie d’aucun droit ni titre d'occupation sur l'immeuble objet du lot Numéro 9023.