Dans le véhicule au moteur en marche, se trouve Willie McCoy. Le jeune homme est, selon les employés, affalé au volant. Selon Melissa Nold, l’avocate de la famille de Willie McCoy, le jeune Afro-Américain s’était simplement endormi. La victime, qui rêvait d’être rappeur, s’était rendue au fast-food après avoir fini un enregistrement chez un membre de sa famille. Six policiers l’auraient alors abattu d’au moins 25 balles, touchant le visage, la poitrine, l’oreille, les bras et les épaules.
“Rien ne justifie un tel niveau d’usage de la force”. Or, les six policiers qui sont intervenus, racontent une toute autre version. Selon le communiqué de la police de Vallejo, ils expliquent avoir aperçu une arme de poing dans la voiture. Le jeune homme de 20 ans se serait alors réveillé lorsqu’ils évaluaient la situation. Toutefois, il n’aurait pas obéi à leurs ordres, notamment de lever “les mains en l’air”. C’est alors qu’il aurait fait un geste en direction de son arme. Craignant pour leur sécurité, les policiers auraient alors “fait usage de leurs armes de service”.
Une action jugée excessive par Melissa Nold, relayée par l’AFP
"C’était excessif. Rien ne justifie un tel niveau d’usage de la force, et aucune raison n’explique qu’on tire autant de fois sur quelqu’un. C’est presque comme s’ils étaient au stand de tir".
Si l’arme a été retrouvée chargée et avait été signalée volée dans l’Oregon voisin, selon Melissa Nold, les policiers auraient pu procéder à une autre approche. En effet, celle qui a elle-même appartenu aux forces de l’ordre, estime les forces de l’ordre auraient dû réveiller le jeune homme avec une sirène ou un mégaphone et s’abriter derrière leurs véhicules.
Minutenews
“Rien ne justifie un tel niveau d’usage de la force”. Or, les six policiers qui sont intervenus, racontent une toute autre version. Selon le communiqué de la police de Vallejo, ils expliquent avoir aperçu une arme de poing dans la voiture. Le jeune homme de 20 ans se serait alors réveillé lorsqu’ils évaluaient la situation. Toutefois, il n’aurait pas obéi à leurs ordres, notamment de lever “les mains en l’air”. C’est alors qu’il aurait fait un geste en direction de son arme. Craignant pour leur sécurité, les policiers auraient alors “fait usage de leurs armes de service”.
Une action jugée excessive par Melissa Nold, relayée par l’AFP
"C’était excessif. Rien ne justifie un tel niveau d’usage de la force, et aucune raison n’explique qu’on tire autant de fois sur quelqu’un. C’est presque comme s’ils étaient au stand de tir".
Si l’arme a été retrouvée chargée et avait été signalée volée dans l’Oregon voisin, selon Melissa Nold, les policiers auraient pu procéder à une autre approche. En effet, celle qui a elle-même appartenu aux forces de l’ordre, estime les forces de l’ordre auraient dû réveiller le jeune homme avec une sirène ou un mégaphone et s’abriter derrière leurs véhicules.
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