Au mois de février dernier, Diaka Diallo s’est présentée au commissariat de Rebeuss pour déposer une plainte contre son mari, Saliou Diallo, pour enlèvement d'une fille mineure de 6 ans.
Dans sa narration des faits, la restauratrice, résidant à la Médina, explique que son mari lui avait demandé de rejoindre le domicile conjugal où il vit avec sa première épouse. Elle a refusé d’accéder à cette demande sous prétexte qu’elle ne s'entendait pas avec sa coépouse. c’est ainsi que son mari a pris ses bagages et l'a abandonnée.
Un malheur ne venant jamais seul, elle est expulsée de la maison où elle habitait par le propriétaire sous prétexte qu'il avait besoin de sa chambre. C'est ainsi qu’elle est allée habiter avec une de ses sœurs.
«Il est venu me menacer et m’abreuver d’injures en soutenant que je ne devais pas habiter seule, loin de lui» dit-elle.
Poursuivant, Diaka Diallo souligne que ce qui lui a fait le plus mal, c’est que son mari a enlevé son enfant en menaçant de lui faire du mal si jamais elle ne rejoint pas la maison conjugale. Et d’ajouter que son mari n'est même pas capable d'acheter des ordonnances pour sa fille.
« Elle n'est pas en sécurité, c'est pour cela que je tiens à la récupérer », dit-elle.
Rejetant en bloc les propos de son épouse et niant les accusations d’enlèvement, Saliou Diallo indique sa femme a abandonné le domicile conjugal et est allée vivre seule. Raison pour laquelle, il a récupéré sa enfant.
«J'ai demandé à ma seconde épouse de rejoindre la maison que j'ai prise pour ma famille à la rue 33x24 de la Médina mais elle a refusé. Face à son refus, j'ai amené avec moi notre fille. Cependant, chaque vendredi, j’amenais la petite passer le week-end avec sa mère. Mais j’y ai mis un terme, car à chaque fois que je venais chez elle avec la petite, elle m'abreuvait d'injures. Elle m’a accusé même d'avoir battu son amie Taibou, en fournissant un certificat médical de complaisance.
Ce qui m'avait valu un mois de prison ferme. Je n’ai jamais enlevé la petite et je ne lui ai jamais interdit de venir la voir. C'est plutôt elle qui voulait me l'arracher alors qu'elle est bien traitée à la maison», tonne le mis en cause. Cette affaire sera transmise au procureur de la République.
L’As
Dans sa narration des faits, la restauratrice, résidant à la Médina, explique que son mari lui avait demandé de rejoindre le domicile conjugal où il vit avec sa première épouse. Elle a refusé d’accéder à cette demande sous prétexte qu’elle ne s'entendait pas avec sa coépouse. c’est ainsi que son mari a pris ses bagages et l'a abandonnée.
Un malheur ne venant jamais seul, elle est expulsée de la maison où elle habitait par le propriétaire sous prétexte qu'il avait besoin de sa chambre. C'est ainsi qu’elle est allée habiter avec une de ses sœurs.
«Il est venu me menacer et m’abreuver d’injures en soutenant que je ne devais pas habiter seule, loin de lui» dit-elle.
Poursuivant, Diaka Diallo souligne que ce qui lui a fait le plus mal, c’est que son mari a enlevé son enfant en menaçant de lui faire du mal si jamais elle ne rejoint pas la maison conjugale. Et d’ajouter que son mari n'est même pas capable d'acheter des ordonnances pour sa fille.
« Elle n'est pas en sécurité, c'est pour cela que je tiens à la récupérer », dit-elle.
Rejetant en bloc les propos de son épouse et niant les accusations d’enlèvement, Saliou Diallo indique sa femme a abandonné le domicile conjugal et est allée vivre seule. Raison pour laquelle, il a récupéré sa enfant.
«J'ai demandé à ma seconde épouse de rejoindre la maison que j'ai prise pour ma famille à la rue 33x24 de la Médina mais elle a refusé. Face à son refus, j'ai amené avec moi notre fille. Cependant, chaque vendredi, j’amenais la petite passer le week-end avec sa mère. Mais j’y ai mis un terme, car à chaque fois que je venais chez elle avec la petite, elle m'abreuvait d'injures. Elle m’a accusé même d'avoir battu son amie Taibou, en fournissant un certificat médical de complaisance.
Ce qui m'avait valu un mois de prison ferme. Je n’ai jamais enlevé la petite et je ne lui ai jamais interdit de venir la voir. C'est plutôt elle qui voulait me l'arracher alors qu'elle est bien traitée à la maison», tonne le mis en cause. Cette affaire sera transmise au procureur de la République.
L’As
