En tournée politique, ce week-end à Gouye Mouride, un quartier périphérique de la commune de Rufisque-Est, Moustapha Guirassy a relevé les incohérences de la politique du régime de Macky Sal. Un mal-vivre qui saute aux yeux, selon le leader du parti Sénégalais Unis pour le développement (SUD), que le régime en place est en train de favoriser en omettant sciemment le vieux Rufisque, au détriment de la nouvelle ville de Diamniadio.
« Macky Sall a les moyens de développer Rufisque. En moins de trois ans, de façon ex-nihilo, de façon instantanée, il a fait tout pour construire une nouvelle ville. Cela veut dire qu’il avait les moyens de faire quelque chose à Rufisque. C’est la preuve par neuf que le régime avait les moyens de réaliser les canalisations, l’assainissement (…), que Rufisque attend de lui », a-t-il relevé, invitant le gouvernement à prendre toute la mesure d’un tel déséquilibre.
« Malheureusement, rembobine le député, on assiste à un chômage endémique de la jeunesse à Rufisque ». S’indignant du visage peu reluisant de cette partie de la ville coloniale qui s’offre à la façade du pôle de Diamniadio, il estime que pour éviter la paupérisation de ces localités, l’Etat doit « s’appuyer sur les atouts et potentialités de chaque localité pour créer de la richesse de façon locale ».
« Aujourd’hui, nous avons vu que tout est en train d’être fait à Rufisque, sauf l’essentiel. L’essentiel, c’est de créer de la valeur avec l’industrie pour transformer les secteurs de la pêche, des services, du tourisme. Un Etat qui a les moyens de construire un stade comme Dakar Arena et de danser, cet Etat-là a les moyens de rendre cette ville propre », a ironisé l’ancien ministre de la Communication.
Au bout du compte, il a souligné : « Il ne faut pas que ces grandes autoroutes amènent à oublier Rufisque ». Cela, en décriant l’absence de sécurité et de cadre de vie adéquat dans les quartiers de Gouye Mouride. Une offre politique qu’il dit mettre dans le compte d’une véritable politique industrielle axée sur la salubrité et la gestion des énergies propres.
Vox Populi
« Macky Sall a les moyens de développer Rufisque. En moins de trois ans, de façon ex-nihilo, de façon instantanée, il a fait tout pour construire une nouvelle ville. Cela veut dire qu’il avait les moyens de faire quelque chose à Rufisque. C’est la preuve par neuf que le régime avait les moyens de réaliser les canalisations, l’assainissement (…), que Rufisque attend de lui », a-t-il relevé, invitant le gouvernement à prendre toute la mesure d’un tel déséquilibre.
« Malheureusement, rembobine le député, on assiste à un chômage endémique de la jeunesse à Rufisque ». S’indignant du visage peu reluisant de cette partie de la ville coloniale qui s’offre à la façade du pôle de Diamniadio, il estime que pour éviter la paupérisation de ces localités, l’Etat doit « s’appuyer sur les atouts et potentialités de chaque localité pour créer de la richesse de façon locale ».
« Aujourd’hui, nous avons vu que tout est en train d’être fait à Rufisque, sauf l’essentiel. L’essentiel, c’est de créer de la valeur avec l’industrie pour transformer les secteurs de la pêche, des services, du tourisme. Un Etat qui a les moyens de construire un stade comme Dakar Arena et de danser, cet Etat-là a les moyens de rendre cette ville propre », a ironisé l’ancien ministre de la Communication.
Au bout du compte, il a souligné : « Il ne faut pas que ces grandes autoroutes amènent à oublier Rufisque ». Cela, en décriant l’absence de sécurité et de cadre de vie adéquat dans les quartiers de Gouye Mouride. Une offre politique qu’il dit mettre dans le compte d’une véritable politique industrielle axée sur la salubrité et la gestion des énergies propres.
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