Alors que les États-Unis ont adressé plus de 150 000 demandes de données à Meta en 2024, l’Afrique n’a émis que quelques dizaines de requêtes. Le Maroc fait figure d’exception avec 1 188 demandes, suivi de la Tunisie (121), la Libye (68), l’Algérie (54), le Ghana (38), l’Afrique du Sud (36) et le Kenya (35).
Le rapport souligne que cette passivité contraste avec la multiplication des contenus violents et dangereux en ligne : cybercriminalité, harcèlement, discours haineux et propagande. Dans de nombreux cas, rappelle Ecofin, les demandes visent des affaires criminelles telles que des vols ou des enlèvements.
L’As, qui relaie ces données, souligne que cette faible implication traduit un retard des systèmes judiciaires africains dans l’encadrement de l’ère numérique.
Selon L’As, cette situation fragilise les enquêtes sur la cybercriminalité et le terrorisme numérique.
Le rapport souligne que cette passivité contraste avec la multiplication des contenus violents et dangereux en ligne : cybercriminalité, harcèlement, discours haineux et propagande. Dans de nombreux cas, rappelle Ecofin, les demandes visent des affaires criminelles telles que des vols ou des enlèvements.
L’As, qui relaie ces données, souligne que cette faible implication traduit un retard des systèmes judiciaires africains dans l’encadrement de l’ère numérique.
Selon L’As, cette situation fragilise les enquêtes sur la cybercriminalité et le terrorisme numérique.