Pour Mouhamed Djibril Wade, maire de la commune de Biscuiterie, cette mobilisation traduit un véritable espoir : « Si on a une jeunesse consciente, qui aime son pays, qui respecte le bien public et le bien commun, ce pays se développera. Mais ce respect commence d’abord par soi-même. Aujourd’hui, il est temps que la jeunesse prenne conscience de sa force et de son rôle de levier du développement. »
Le programme entend toucher directement 250 000 jeunes et plus de deux millions de Sénégalais de manière indirecte. Son objectif est clair : transformer chaque citoyen en acteur responsable et solidaire, capable de contribuer à l’avancement du pays. Après Dakar, une caravane nationale sillonnera villes et villages du 14 septembre au 9 novembre 2025. Chaque étape sera consacrée à des thématiques adaptées aux besoins locaux : création de petites entreprises et gestion du stress urbain à Dakar, respect du tourisme et confiance en soi à Mbour, valeurs civiques et leadership religieux à Tivaouane, ou encore sport et solidarité à Ziguinchor.
Cette tournée se déroulera en cinq grandes étapes : Thiès et la Petite Côte du 14 au 21 septembre, le Sud du 22 septembre au 1er octobre, l’Est du 3 au 9 octobre, le Centre du 11 au 19 octobre et enfin le Nord du 24 octobre au 9 novembre. Partout, des rencontres permettront aux jeunes de discuter, de se former et de découvrir des idées concrètes pour améliorer leur communauté.
Le colonel Amadou Cambel Dieng, directeur du Service Civique National, souligne que le programme s’inscrit dans le cadre du plan de redressement économique et social présenté récemment par le Premier ministre. Pour lui, « l’avenir du Sénégal commence avec sa jeunesse, qui représente 75 % de la population ».
Cette vision bénéficie du soutien du Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, et du Premier ministre, Ousmane Sonko, qui veulent faire de la jeunesse le moteur de la transformation nationale.
Au-delà des discours officiels, les jeunes se sentent pleinement concernés. « Une communauté ne peut se construire qu’à travers la formation de sa jeunesse », témoigne Moustapha Ba, membre du programme. De son côté, Léna Guèye, participante, dit sa fierté : « Nous magnifions cette initiative, car elle permet à la jeunesse de devenir responsable, solidaire et actrice du développement national. »
Birame Khary Ndaw
Le programme entend toucher directement 250 000 jeunes et plus de deux millions de Sénégalais de manière indirecte. Son objectif est clair : transformer chaque citoyen en acteur responsable et solidaire, capable de contribuer à l’avancement du pays. Après Dakar, une caravane nationale sillonnera villes et villages du 14 septembre au 9 novembre 2025. Chaque étape sera consacrée à des thématiques adaptées aux besoins locaux : création de petites entreprises et gestion du stress urbain à Dakar, respect du tourisme et confiance en soi à Mbour, valeurs civiques et leadership religieux à Tivaouane, ou encore sport et solidarité à Ziguinchor.
Cette tournée se déroulera en cinq grandes étapes : Thiès et la Petite Côte du 14 au 21 septembre, le Sud du 22 septembre au 1er octobre, l’Est du 3 au 9 octobre, le Centre du 11 au 19 octobre et enfin le Nord du 24 octobre au 9 novembre. Partout, des rencontres permettront aux jeunes de discuter, de se former et de découvrir des idées concrètes pour améliorer leur communauté.
Le colonel Amadou Cambel Dieng, directeur du Service Civique National, souligne que le programme s’inscrit dans le cadre du plan de redressement économique et social présenté récemment par le Premier ministre. Pour lui, « l’avenir du Sénégal commence avec sa jeunesse, qui représente 75 % de la population ».
Cette vision bénéficie du soutien du Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, et du Premier ministre, Ousmane Sonko, qui veulent faire de la jeunesse le moteur de la transformation nationale.
Au-delà des discours officiels, les jeunes se sentent pleinement concernés. « Une communauté ne peut se construire qu’à travers la formation de sa jeunesse », témoigne Moustapha Ba, membre du programme. De son côté, Léna Guèye, participante, dit sa fierté : « Nous magnifions cette initiative, car elle permet à la jeunesse de devenir responsable, solidaire et actrice du développement national. »
Birame Khary Ndaw