Ces bandes armées, explique le Commandant de la zone militaire numéro 5, semaient la terreur chez les populations. « Plusieurs exactions ont été perpétrées contre les populations au niveau de cette zone. De par ces exactions, les bandes armées cherchent tout simplement à s’assurer de l’exclusivité de l’exploitation des ressources forestières », a-t-il révélé.
Pour bien sécuriser cette zone frontalière avec la République de Guinée Bissau, l’armée avait mis en place deux fuseaux installés à l’est et à l’ouest de Nyassia. Ces bases militaires dans les localités comme Badème et Bagame ont permis aux populations déplacées de retourner au bercail en sécurité. « L’objectif majeur de cette opération consistait à réaliser les conditions pour un retour en sécurité des populations d’origine.
Pour aider ces populations à un retour sur leur territoire, il fallait créer les conditions de sécurité en procédant à la neutralisation des bandes armées. Il fallait également créer les conditions de sécurité en dépolluant la zone qui était très minée. Cette action de déminage ne pourrait pas se faire seulement avec les armées. Il fallait l’intervention d’autres acteurs », a précisé commandant Kandé.
Pour bien sécuriser cette zone frontalière avec la République de Guinée Bissau, l’armée avait mis en place deux fuseaux installés à l’est et à l’ouest de Nyassia. Ces bases militaires dans les localités comme Badème et Bagame ont permis aux populations déplacées de retourner au bercail en sécurité. « L’objectif majeur de cette opération consistait à réaliser les conditions pour un retour en sécurité des populations d’origine.
Pour aider ces populations à un retour sur leur territoire, il fallait créer les conditions de sécurité en procédant à la neutralisation des bandes armées. Il fallait également créer les conditions de sécurité en dépolluant la zone qui était très minée. Cette action de déminage ne pourrait pas se faire seulement avec les armées. Il fallait l’intervention d’autres acteurs », a précisé commandant Kandé.