Il était environ deux heures du matin lorsque les faits se sont produits. Dans le calme apparent de la nuit, des hommes armés et déterminés ont fait irruption dans sa maison. Après avoir démoli la grille de sécurité et fracassé les vitres du salon, ils ont réussi à accéder à la véranda, avant d’entrer dans la maison familiale.
« J’étais en plein sommeil quand ils m’ont réveillé. Ils m’ont dit qu’ils étaient de la police », confie, la voix tremblante, Mamadou Guèye. Il n’aura fallu que quelques instants aux malfaiteurs pour fouiller la maison de fond en comble
Le butin est lourd : quatre millions de francs CFA et un coffre‐fort ont été emportés. Mais au‐delà des pertes matérielles, c’est la violence du procédé et le traumatisme psychologique qui marquent à jamais le transporteur et sa famille.
« Ce n’est pas la première fois que je vis cela. En 2015 déjà, j’avais été cambriolé. Les malfaiteurs avaient alors pris huit millions de francs et plusieurs téléphones », se remémore‐t‐il avec amertume.
Malgré les plaintes déposées et les démarches judiciaires entamées, la justice tarde à faire la lumière sur ces affaires.
« Jusqu’à présent, je ne sais pas ce qu’est devenu l’individu qui avait été arrêté après le premier cambriolage. Rien n’est clair. On ne m’a jamais vraiment tenu informé », déplore M. Guèye, qui dit avoir refait une déclaration auprès de la gendarmerie de Popenguine et de la Section de recherches de Saly, en attendant les résultats de l’enquête
Ce nouveau cambriolage relance le débat sur la sécurité des citoyens, même dans leurs foyers. À quoi bon travailler dur, économiser, bâtir un toit pour sa famille, si en pleine nuit des individus peuvent pénétrer sans peine dans une maison, semer la terreur et repartir avec les fruits d’une vie de labeur ?
Le cas de Mamadou Guèye n’est malheureusement pas isolé. Il incarne la vulnérabilité croissante des honnêtes citoyens face à une criminalité de plus en plus organisée.
En attendant que justice soit faite, Mamadou Guèye et sa famille tentent de se reconstruire une fois de plus, dans la peur que l’histoire ne se répète. Car lorsque la nuit tombe, au croisement Sinda, plus personne ne dort vraiment sur ses deux oreilles.
« J’étais en plein sommeil quand ils m’ont réveillé. Ils m’ont dit qu’ils étaient de la police », confie, la voix tremblante, Mamadou Guèye. Il n’aura fallu que quelques instants aux malfaiteurs pour fouiller la maison de fond en comble
Le butin est lourd : quatre millions de francs CFA et un coffre‐fort ont été emportés. Mais au‐delà des pertes matérielles, c’est la violence du procédé et le traumatisme psychologique qui marquent à jamais le transporteur et sa famille.
« Ce n’est pas la première fois que je vis cela. En 2015 déjà, j’avais été cambriolé. Les malfaiteurs avaient alors pris huit millions de francs et plusieurs téléphones », se remémore‐t‐il avec amertume.
Malgré les plaintes déposées et les démarches judiciaires entamées, la justice tarde à faire la lumière sur ces affaires.
« Jusqu’à présent, je ne sais pas ce qu’est devenu l’individu qui avait été arrêté après le premier cambriolage. Rien n’est clair. On ne m’a jamais vraiment tenu informé », déplore M. Guèye, qui dit avoir refait une déclaration auprès de la gendarmerie de Popenguine et de la Section de recherches de Saly, en attendant les résultats de l’enquête
Ce nouveau cambriolage relance le débat sur la sécurité des citoyens, même dans leurs foyers. À quoi bon travailler dur, économiser, bâtir un toit pour sa famille, si en pleine nuit des individus peuvent pénétrer sans peine dans une maison, semer la terreur et repartir avec les fruits d’une vie de labeur ?
Le cas de Mamadou Guèye n’est malheureusement pas isolé. Il incarne la vulnérabilité croissante des honnêtes citoyens face à une criminalité de plus en plus organisée.
En attendant que justice soit faite, Mamadou Guèye et sa famille tentent de se reconstruire une fois de plus, dans la peur que l’histoire ne se répète. Car lorsque la nuit tombe, au croisement Sinda, plus personne ne dort vraiment sur ses deux oreilles.
