En Casamance, la campagne de commercialisation de la noix de cajou connaît un ralentissement préoccupant. Selon Sud Quotidien, 150 000 tonnes ont été exportées à ce jour, mais la surabondance sur les marchés, notamment en Inde, principal importateur, provoque une mévente. La Guinée-Bissau, elle aussi confrontée aux remboursements bancaires, contribue à saturer le marché en bradant ses stocks.
Toujours selon Sud Quotidien, Ibrahima Khalil Sagna, président de la commission partenariat et financement de l’interprofession cajou du Sénégal, alerte sur les « résultats très mitigés » de la saison : producteurs avantagés, mais transformateurs paralysés depuis trois ans.
Il appelle l’État à soutenir la transformation locale afin de faire du Sénégal un pôle industriel de l’anacarde.
Toujours selon Sud Quotidien, Ibrahima Khalil Sagna, président de la commission partenariat et financement de l’interprofession cajou du Sénégal, alerte sur les « résultats très mitigés » de la saison : producteurs avantagés, mais transformateurs paralysés depuis trois ans.
Il appelle l’État à soutenir la transformation locale afin de faire du Sénégal un pôle industriel de l’anacarde.