Le Cameroun, qui devait organiser la Coupe d’Afrique des nations 2019, sera bien présent en phase finale de ce tournoi, l’été prochain en Egypte (21 juin-19 juillet). Les Camerounais ne seront pas disqualifiés comme le réclamaient les Comoriens, leurs ex-adversaires dans le groupe B des éliminatoires.
La Fédération de football des Comores (FFC) a en effet perdu devant le Tribunal arbitral du sport (TAS), l’instance suprême en matière de litiges sportifs, ce 4 juin 2019. Dans un communiqué, le TAS indique que « les deux appels déposés par la FFC [sont] irrecevables ».
Des demandes sans intérêt, selon le TAS
La formation arbitrale qui s’est chargée de ces deux dossiers, les a rejetés. Elle affirme que ces demandes sont paradoxalement sans intérêt pour les Comoriens. Le TAS souligne qu’une exclusion des « Lions Indomptables » du tournoi, ne ferait pas pour autant les affaires des Comores. « D’après la réglementation de la Confédération africaine de football, la Formation considère que, même en cas de disqualification de l’équipe nationale du Cameroun, une telle disqualification n’aurait aucune incidence sur le classement [des Comores] dans [leur] groupe de qualification pour la CAN 2019 et qu’il leur était ainsi mathématiquement impossible de se qualifier pour cette compétition », justifie le TAS.
Le Tribunal ajoute que « la FFC ne dispose d’aucun intérêt légal suffisant à demander que la [Fédération camerounaise de football] (Fécafoot) soit suspendue par la CAF ».
Une victoire pour la CAF et un soulagement pour le Cameroun
Cette décision du TAS est un soulagement pour les « Lions Indomptables », qui pourront défendre leur titre en Egypte. C’est aussi et surtout une victoire pour la Confédération africaine de football. Celle-ci va ainsi pouvoir continuer de préparer sereinement la CAN en Egypte ainsi que l’édition suivante.
Les Camerounais s’étaient vus attribuer l’organisation de la CAN 2021, après avoir été jugés pas prêts pour accueillir celle de 2019. « Le Cameroun sera prêt », a d'ailleurs assuré le patron du foot africain, le Malgache Ahmad, ce 4 juin à Paris, lors d’une réunion de la CAF.
La Fédération de football des Comores (FFC) a en effet perdu devant le Tribunal arbitral du sport (TAS), l’instance suprême en matière de litiges sportifs, ce 4 juin 2019. Dans un communiqué, le TAS indique que « les deux appels déposés par la FFC [sont] irrecevables ».
Des demandes sans intérêt, selon le TAS
La formation arbitrale qui s’est chargée de ces deux dossiers, les a rejetés. Elle affirme que ces demandes sont paradoxalement sans intérêt pour les Comoriens. Le TAS souligne qu’une exclusion des « Lions Indomptables » du tournoi, ne ferait pas pour autant les affaires des Comores. « D’après la réglementation de la Confédération africaine de football, la Formation considère que, même en cas de disqualification de l’équipe nationale du Cameroun, une telle disqualification n’aurait aucune incidence sur le classement [des Comores] dans [leur] groupe de qualification pour la CAN 2019 et qu’il leur était ainsi mathématiquement impossible de se qualifier pour cette compétition », justifie le TAS.
Le Tribunal ajoute que « la FFC ne dispose d’aucun intérêt légal suffisant à demander que la [Fédération camerounaise de football] (Fécafoot) soit suspendue par la CAF ».
Une victoire pour la CAF et un soulagement pour le Cameroun
Cette décision du TAS est un soulagement pour les « Lions Indomptables », qui pourront défendre leur titre en Egypte. C’est aussi et surtout une victoire pour la Confédération africaine de football. Celle-ci va ainsi pouvoir continuer de préparer sereinement la CAN en Egypte ainsi que l’édition suivante.
Les Camerounais s’étaient vus attribuer l’organisation de la CAN 2021, après avoir été jugés pas prêts pour accueillir celle de 2019. « Le Cameroun sera prêt », a d'ailleurs assuré le patron du foot africain, le Malgache Ahmad, ce 4 juin à Paris, lors d’une réunion de la CAF.