Il a précisé qu’il n’est pas nécessaire pour l’Etat, de dépenser 7 milliards FCfa pour draguer la brèche car, « cette brèche est en train de se stabiliser autour du village de Tassinère/Gandiole, passant de 7 km de large à 1 km de large, c’est la nature qui fait, défait et refait ».
Selon ce professeur de géographie et de géomorphologie, ce phénomène de stabilisation de la brèche est constaté depuis trois ans, « il s’agit notamment d’un phénomène de régénération naturelle, on pourrait peut-être dépenser juste 500 millions FCfa pour apporter une solution adéquate et durable à ce problème complexe relatif à la brèche ».
Il a fait savoir qu’à l’issue de ces travaux de dragage, il y aura encore, au bout d’un an, beaucoup de sable dans cette brèche, et on reviendra à la case départ, « dans ces conditions, est-ce qu’on pourrait continuer à draguer cette brèche ».
De l’avis de cet expert en géomorphologie, il faut laisser la brèche évoluer naturellement, elle finira par se stabiliser, « le sud avance et le nord va se colmater progressivement, nous en voulons pour preuve, la régénération naturelle constatée actuellement à Doune Baba Dieye, qui est en train de revivre, les populations qui l’avaient déserté, sont revenus pour y mener des activités maraîchères ».
leSoleil
Selon ce professeur de géographie et de géomorphologie, ce phénomène de stabilisation de la brèche est constaté depuis trois ans, « il s’agit notamment d’un phénomène de régénération naturelle, on pourrait peut-être dépenser juste 500 millions FCfa pour apporter une solution adéquate et durable à ce problème complexe relatif à la brèche ».
Il a fait savoir qu’à l’issue de ces travaux de dragage, il y aura encore, au bout d’un an, beaucoup de sable dans cette brèche, et on reviendra à la case départ, « dans ces conditions, est-ce qu’on pourrait continuer à draguer cette brèche ».
De l’avis de cet expert en géomorphologie, il faut laisser la brèche évoluer naturellement, elle finira par se stabiliser, « le sud avance et le nord va se colmater progressivement, nous en voulons pour preuve, la régénération naturelle constatée actuellement à Doune Baba Dieye, qui est en train de revivre, les populations qui l’avaient déserté, sont revenus pour y mener des activités maraîchères ».
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